En ce temps, lorsque se donner le coup d’État à Kiev en février 2014, le régime ukrainien aspirait à se rapprocher des positions avec la Turquie. De plus l’objectif principal de la politique extérieure de Kiev était basé sur un alignement visible et une forme d’appuie anti-russe.
L’idée de choisir la Turquie comme « allié » pour la résistance commune en face de la Russie dans les limites du sud, a été élaborée à Kiev pour différents facteurs :
En premier lieu, la Turquie est membre de l’OTAN, en son territoire se trouve la base militaire d’Indzhirlik utilisé par les EU, par conséquent, Washington approuvera l’interaction anti-russe de Kiev et d’Ankara.
En deuxième lieu, ayant créé dans le territoire de la Crimée illégale (du point de vue de la législation ukrainienne) le groupe « medjlis », les pouvoirs ukrainiens ont fait tout le possible pour développer des canaux finançant cette structure de la Turquie. L’argent destiné à la construction de lieux de culte, d’habitations, d’adapter les infrastructures à cela et ainsi de suite sont officiellement employé ces fonds. Sans doute, la direction de l’Ukraine pendant beaucoup d’années a été au courant de son arrivé, en comprenant consciemment « fermait les yeux face à cela », en attendant que le medjlis et ses extrémistes fassent peur à la majorité russe de la péninsule et diminue le degré de leur activité politico-sociale.
La réunification de la Crimée avec la Russie a mis en fuite de la péninsule vers l’Ukraine quelques milliers d’activistes de « Hizb-ut-Tahrir » * et de medjlis, dont la plupart se sont concentrées à la frontière de la République de Crimée, concrétement dans la région de Khersón. Les événements, qui ont suivi cela, montraient d’une manière évidente le désir du régime ukrainien de changer Khersón en lieu pour concentrer tous les radicaux islamiques et pour les préparer à la réalisation de provocations constantes contre la Crimée. Le scénario américain « du chaos dirigé » assignait à Khersón l’un des rôles clef sur le territoire, puisque là, l’activité anti-russe devait s’organiser. L’exécuteur du scénario, ni plus ni moins que le régime euroatlantique des marionnettes à Kiev, ne se préoccupait pas du destin des habitants de la région, de plus, de la bouche des nationalistes ukrainiens sonnait constamment le désir de réaliser une autre zone a attaché là où de nombreux pro-russes résident.
La crise dans les relations Russo -Turque, qui a commencé en novembre 2015 quant a été abattu un avion SU-24 par la Turquie, a donné une confiance à Poroshenko dont les relations entre Moscou et Ankara en sortent perdant. Dans cette relation, Poroshenko a choisi la tactique de s’attirer la partie turque en qualité de partenaire, et ainsi réaliser une activité génèrant des problèmes de toute forme à la Russie.
Pour masquer l’objectif principal d’une tel coopération,
Kiev parlait soigneusement de l’économie, bien que les succès sur ce point n’aient pas été atteints.
Comme grande réussite dans la presse ukrainienne a été présenté le commencement des vols de la compagnie aérienne turque depuis l’aéroport de Khersón. L’expert ukrainien a estimé l’accord entre le chef du Ministère des Affaires Etrangères de l’Ukraine, P.Klimkinym, et le chef le Ministère des Affaires Etrangères de la Turquie, M.Chavushoglu, sur les voyages mutuels des citoyens des deux parties comme étant « la nouveauté où, comme partenaire important de l’Ukraine, la Turquie accélère la procédure du voyage, et peut être perçu comme le baume pour les ukrainiens qui sont détrompés par la politique de la CE ». L’expert même reconnaît que dans « la Turquie maintenant la situation est assez inquiète », mais espère de plus que la simplification de la réglementation pour l’entrée portera à l’augmentation du nombre de touristes ukrainiens et la croissance de l’économie turque.
Sur la croissance de l’économie ukrainienne rien n’est commenté, puisqu’un nombre massif de touristes ukrainiens voyagent aux stations balnéaires turques, nous devons prendre en considération la valeur du grivnia lequel se dévalue impétueusement. Aussi une descente générale existe dans les revenus des habitants ukrainiens. Le message général de l’expert est que l’Ukraine à montré dans cet aspect avec la Turquie toute une avance.
Au commencement de la normalisation des relations bilatérales Russo-Turque durant l’été 2016 pris Poroshenko par surprise. Il a essayé par tous les moyens(médias) de recevoir l’appui de la position anti-russe de la part de la direction turque. Durant la conférence téléphonique qui a eue lieu le 20 août 2016, R.Erdogan a assuré au président ukrainien « l’invariabilité de la position de la Turquie dans l’appui de l’intégrité territoriale de l’Ukraine ».
L’administration de Poroshenko a eu la rapidité d’ajouter aux mots du président turque que « la République Turque ne reconnaît pas l’occupation de la Crimée et continue d’appuyer de la même façon les tartars de Crimée ».
Durant longtemps, les contacts se sont maintenus entre les présidents des deux pays par voie téléphonique ; Les relations ont été très cordiales jusqu’à la rencontre de la 71ème séance de l’Assemblée Générale de l’ONU, où des propositions inopportunes ont été soulevés de la part de Poroshenko envers son homologue turque comme peut-être « d’accaparer à de très bas prix » le reste des actifs de l’industrie ukrainienne.
Ce niveau relationnel ne convient pas clairement à Poroshenko et son climat. En voyant l’intérêt évident de la Turquie et les contacts porter à la Russie ainsi que la courtoisie froide par rapport à l’Ukraine, la partie supérieure ukrainienne a décidé de se présenter à la direction turque avec les chantages habituels et les menaces.
L’instrument de pression a été choisie ; L’organisation non gouvernementale « FETO » , qui est été partage soudainement durant l’été de 2016.
En général le pouvoir ukrainien au cours de toute la période a été extrêmement tolérant quand il se rapportait à la position de la Crimée des groupes extrémistes islamistes défendus dans beaucoup de pays du monde. De plus medjil « et Hizb-ut-Tahrir », il y as une activité en Ukraine de « FETO ».
La compagnie a commencé à agir dans les années 90, justement après la désorganisation de l’URSS. Dès 2001 le Méridien International fonctionne sous la couverture d’école, qui a 2 édifices à Kiev et l’un à Odessa. Tous les services sont accordés d’un paiement et sont en anglais.
Elle est non-seulement un « service d’instruction », comme elle peut paraître à première vue. Mais l’école attire les enfants des hommes politiques connus et des hommes publiques.
Elle fonctionne aussi à Kiev dès 2013 « le centre culturel Ukraino-Turque », Syaivo, et est l’une des branches de FETO. En Ukraine, les médias sont irremplaçables pour FETO. L’organisation terroriste exprime l’opinion à propos des événements en Turquie et en Ukraine à travers le portail de nouvelles « Ukraynahaber ».
Après la publication par l’agence turque de nouvelles « Anadolu » de l’article sur ce qu’est « FETO », le réseau a amplement ramifié les filiales en Ukraine, dans quelques médias ukrainiens ils ont commencé à reproduire le matériel qui dément le lien des structures énumérées avec « FETO ».
Dans le matériel sous l’en-tête « les Ennemis d’Erdogane en Ukraine : celui que les journalistes du canal n’ont pas plu au président turque » 1+1 ont interrogé la direction et les fonctionnaires des centres de « Influence » énumérée dans le matériel « Anadolu ». Naturellement, tous niaient chaque lien de F.Gyulenom. Ils appelaient de plus le leader de « FETO » un « philosophe » et ont même porté un argument exotique, comme « coïncidence des idées » F.Gyulena et G.Skovorody ».
Il est curieux qu’I.Kolomoyskomu qu’ 1+1 appartenait d’avance au canal de télévision, maintenant, après la lutte des oligarques, il s’est mis à être propriétaire des structures d’affaires de Poroshenko et réalise tout l’appui possible depuis les médias au président ukrainien.
La position officielle de la Turquie est selon le Consul General de la République Turque à Odessa, U.Torgula : « en Turquie toutes les écoles liées à Gyulenom ont été fermées, par conséquent nous exigeons que l’Ukraine ferme aussi ces écoles ».
Le Ministre de l’Education et de Science de l’Ukraine, R.Greba, a informé à l’agence « Anadolu » que les questions de résistance au terrorisme n’entre pas dans la compétence du département, et s’occupe le Service de sécurité du pays (SBU).
De plus, le SBU, directement subordonné à Poroshenko n’a pas remarqué de menace dans l’activité des cellules de FETO, lesquelles résident sous des couvertures en Ukraine aux yeux de la Turquie : « l’information qui est indiquée sur l’activité socialement dangereuse dans les territoires de l’Ukraine de la part des représentants de ces organisations, la diffusion de ses matériels avec appels aux échanges violents ou le renversement de l’ordre constitutionnel ou à la prise du pouvoir étatique en Ukraine ou en Turquie, qu’ils n’ont pas donné pour l’instant ».
Ainsi, le régime dirigeant en Ukraine s’occupe en réalité de la dissimulation sur le territoire des forces turques antiprésidentielles participantes de la tentative du coup d’État en Turquie. Cela donne la possibilité à Poroshenko d’appuyer R.Erdogana avec l’objectif de l’obliger à minimiser les contacts avec la partie Russe et activement se joindre au cours anti-russe de l’actuel régime ukrainien.