Dans le quartier de Wadi Hajar, la maison de la famille de Saddam et Saïf Mustafa, détruite par une frappe le 28 février.
Pour avancer à tout prix dans les quartiers de l’ouest de la ville encore tenus par l’État islamique, les forces irakiennes font de plus en plus appel aux bombardements aériens de la coalition menée par les États-Unis. Son commandant en chef vient de reconnaître qu’une frappe avait provoqué la mort de plus de 140 civils. L’armée française dément être impliquée. Sur place, les témoignages abondent sur d’autres bombardements et font état de centaines de victimes.