Les Amis de l’Humanité et la Ligue des droits de l’homme (LDH), s’associent le 1er mai, au cinéma Max Linder pour une rencontre choc.
Rencontre choc, les mots ne sont pas trop forts. Choc du thème : « Ces étrangers qui ont fait la France ! » Choc de la date : la Journée internationale des travailleurs. Choc du contexte : le lundi 1er mai se situe exactement entre les deux tours de l’élection présidentielle. Le vice-président des Amis de l’Humanité, Charles Silvestre, campe le décor : « Inutile de faire un dessin. Avant le second tour de ce scrutin, le camp des cyniques va faire chauffer la marmite de la xénophobie pour enfumer la question sociale. Le but est misérablement électoraliste, mais pas seulement. Il s’agit aussi de répandre le poison durable de la division et du racisme. »
Polonais, Italiens, Espagnols, Arméniens et Maghrébins mis à l’honneur
Au Max Linder, de 10 heures à 13 heures, la connaissance des autres sera à l’honneur. L’historien Gilles Manceron, de la LDH, y présentera un film passionnant sur ces Polonais, ces Italiens, ces Espagnols, ces Arméniens, ces Maghrébins qui ont façonné, avec d’autres, dans des cultures croisées, l’histoire sociale et politique de ce pays, quand les Le Pen s’installaient dans un château.
Les Amis et la LDH souhaitent réunir une foule solidaire au cœur de Paris
Un débat suivra avec Benjamin Stora, président du musée d’Histoire de l’immigration, Catherine Wihtol de Wenden, spécialiste des migrations internationales, et Pierre-Alain Mannoni, universitaire niçois poursuivi pour avoir transporté dans sa voiture trois femmes venant d’Érythrée. Acquitté par le tribunal, il se voit encore menacé à la suite de l’appel du procureur. On enchaînera avec la manifestation syndicale du 1er-Mai. L’an dernier, en plein combat contre la loi travail, les luttes ouvrières avaient rassemblé la foule dans une salle comble. Pour ce 1er Mai à venir, les Amis et la LDH ont la même ambition : quand les migrants sont voués au drame, réunir une foule solidaire au cœur de Paris.
Rencontre choc, les mots ne sont pas trop forts. Choc du thème : « Ces étrangers qui ont fait la France ! » Choc de la date : la Journée internationale des travailleurs. Choc du contexte : le lundi 1er mai se situe exactement entre les deux tours de l’élection présidentielle. Le vice-président des Amis de l’Humanité, Charles Silvestre, campe le décor : « Inutile de faire un dessin. Avant le second tour de ce scrutin, le camp des cyniques va faire chauffer la marmite de la xénophobie pour enfumer la question sociale. Le but est misérablement électoraliste, mais pas seulement. Il s’agit aussi de répandre le poison durable de la division et du racisme. »
Polonais, Italiens, Espagnols, Arméniens et Maghrébins mis à l’honneur
Au Max Linder, de 10 heures à 13 heures, la connaissance des autres sera à l’honneur. L’historien Gilles Manceron, de la LDH, y présentera un film passionnant sur ces Polonais, ces Italiens, ces Espagnols, ces Arméniens, ces Maghrébins qui ont façonné, avec d’autres, dans des cultures croisées, l’histoire sociale et politique de ce pays, quand les Le Pen s’installaient dans un château.
Les Amis et la LDH souhaitent réunir une foule solidaire au cœur de Paris
Un débat suivra avec Benjamin Stora, président du musée d’Histoire de l’immigration, Catherine Wihtol de Wenden, spécialiste des migrations internationales, et Pierre-Alain Mannoni, universitaire niçois poursuivi pour avoir transporté dans sa voiture trois femmes venant d’Érythrée. Acquitté par le tribunal, il se voit encore menacé à la suite de l’appel du procureur. On enchaînera avec la manifestation syndicale du 1er-Mai. L’an dernier, en plein combat contre la loi travail, les luttes ouvrières avaient rassemblé la foule dans une salle comble. Pour ce 1er Mai à venir, les Amis et la LDH ont la même ambition : quand les migrants sont voués au drame, réunir une foule solidaire au cœur de Paris.