Moscou, le 15 avril. La situation grave s’est formée dans la ville « Deir-ez-Zor » Syrienne, qui pendant quatre ans est rester sous occupation des combattants d’ISIS (interdit en Russie) : dans la ville il n’y as presque plus de nourriture ni d’eau; quitter le territoire est pratiquement impossible.
Des dizaines de milliers de personnes restent à Deir-ez-Zor, dans laquelle quelques jours en arrière était bombarder par les avions de la coalition contre les stocks d’ISIS d’armes chimiques, faisant beaucoup de mort civile. La situation dans la ville reste accablante : les gens n’ont rien à manger et ni même à boire, parce que l’eau est approvisionner deux fois par semaine — les installations d’épuration et la conduite d’eau étaient détruites par les combattants d’ISIS. L’électricité dans la ville est aussi absente; les ordures servent de combustible, communique le correspondant News Front.
L’alimentation est livrée à la ville seulement par hélicoptères — les boîtes de provision descendent par parachutes. Les fruits, la viande et les produits laitiers dans la ville sont inexistants, ceux, qui réussissent à faire des potagers, les revendent contre beaucoup d’argent. Dans les conditions de la guerre même les oeufs de poule ordinaires sont du luxe pour les citadins : un oeuf coûte un dollar. Au cours de la guerre chacun des citadins a perdu pas moins de 20 kg.
Quitter la ville entourée, autour de laquelle les combats ne s’apaisent pas, est pratiquement impossible : le seul moyen de liaison est l’hélicoptère, qui emportent d’habitude les malades et les blessés.
* L’Organisation est interdite sur le territoire de la RF.
Traduction : Philippe Calfine