Merkel à Kiev doit demander à Porochenko de l’autonomie pour le Donbass – le politologue allemand très convaincant

Le règlement de la crise du pouvoir de l’Ukraine doit accepter l’octroi de l’autonomie au Donbass, et persuader les leaders de la CE, le politologue connu allemand Alexandre Rar a déclaré, en commentant «le journal Russe» la visite d’Angela Merkel à Sochi.

 

«Autrefois elle s’est chargée du rôle de l’avocat dans ce conflit (au Donbass). Si les accords De Minsk s’écroulent, s’écroule avec« la politique orientale ». De sorte que la question ukrainienne pour le chancelier allemand — le centre d’intérêt n’est pas simple. Une autre affaire que sa décision est possible seulement dans la coopération étroite avec les russes, ainsi qu’avec le côté ukrainien. Ceux qui veut en effet la normalisation de la situation, attendent que Merkel aille à Kiev et à la rencontre de Porochenko ou dans le Rada dira directement que l’alternative aux accords De Minsk est absente. Et donc, Kiev doit accorder au Donbass l’autonomie de l’Ukraine. Si l’Allemagne s’est décidée de sonoriser une telle position, ce serait le pas sage», – trouve Rar.

«Je pense que la chancelière allemande plus que d’autres est capable de comprendre l’histoire russe, et les intérêts russes stratégiques. Elle ne les doit pas reconnaître, mais les comprendre il est nécessaire. N’oubliez pas qu’en 2008 au sommet De Bucharest de l’OTAN, l’Allemagne a arrêté l’élargissement de l’OTAN sur la Géorgie et l’Ukraine, à qui a visé George Bush-cadet au soutien de l’Europe de l’Est», – l’expert a rappelé.

D’ailleurs, d’après lui, «la chancelière allemande s’est trouvée serrée dans les étaux».

«D’une part, elle craint que les critiques commenceront à l’accuser »du caractère accommodant superflu »avec Moscou. De telles conversations sont extrêmement désavantageuses pour celle-ci, d’autant plus que jusqu’aux élections il restait moins de semi-année. La chancelière ne veut pas perdre des points. D’autre part, une tel politique, comme Merkel, doit prendre en considération les intérêts de l’Allemagne, qui sont dans le plan de la normalisation des relations avec la Russie», – a expliqué le politologue.

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