L’ancien premier-ministre de la république autoproclamée du Kosovo, Ramouch Khardinaj, a récemment été libéré par la cour française de l’accusation dans les crimes de guerre en Yougoslavie, a via la demande du contentieux territorial de la Serbie. Cela concerne déjà le bord du Kosovo et aussi Metokhiya.
« Si la Serbie dans la Constitution ne laisse pas le Kosovo, nous pouvons répondre qu’un tiers du territoire de la Serbie sera reprise dans la notre ! » – a déclaré Khardinaj.
Belgrade a vivement réagi à ses menaces.
Le ministre des affaires étrangères, Ivitsa Datchitch, a conseillé à Khardinaju de retenir sa langue, et a marqué que celui-là a laissé échapper un secret sur les partisans du projet qui font « une grande Albanie ».
« Que serait, la Serbie si elle déclarée cela dans le contexte de la Bosnie-Herzegovine ? », – a demandé Datchitch, en accusant la communauté internationale que les demandes semblables restent sans attention.
Le chef du secrétariat serbe du Kosovo et Metokhi Marko Djouritch a déclaré que « la Serbie ne craint pas les gens, qui ont retiré les uniformes des terroristes et construisent les politiques ».
La radicalisation des situations se passe au fond des élections du « Kosovo ». Récemment après le vote sur la méfiance envers le gouvernement, cela à cause du vote sur la démarcation de la frontière avec le Monténégro. La place du nouveau premier-ministre est prédite maintenant par Khardinaju, d’après l’évaluation des experts, cela amènera inévitablement à la tension encore plus aiguë au Kosovo et sur les Balkans.
Traduction : Philippe Calfine