Le collaborateur du comité National du Parti démocratique des États-Unis, tué à Washington le 10 juillet 2016, a transmis au site des révélations WikiLeaks plus de 44 mille lettres, communiquent les médias américains en référence aux sources.
Le juge d’instruction fédéral familier avec le contenu du rapport de la Police judiciaire fédérale sur le meurtre du collaborateur HK du Parti démocratique de Seta Ritcha, a déclaré que celui-là était en contact avec Gevinom Makfajdenom le directeur de Wikileaks vivant à cette époque-là à Londres, à présent aussi décédé, transmet Fox News.
La source de la chaîne de télévision a noté les messages du courrier électronique – tandis que de l’enquête de l’affaire criminelle est encore en cours. Les policiers n’ont pas de suspects.
Selon ces données, l’informateur a transmis WikiLeaks 44 mille 53 lettres de janvier 2015 au 21 mai 2016. Et le 22 juillet, 12 jours après la destruction de Ritch, WikiLeaks a publié la correspondance scandaleuse des démocrates.
Le fondateur WikiLeaks, Djoulian Assanj ne confirme pas que Ritch a transmis tous ces documents, mais ne nie pas le fait du travail avec cette personne. L’Organisation-accusateur a annoncé la récompense de 20 mille dollars pour l’information, qui amènera à la capture de l’assassin du collaborateur HK du Parti démocratique.
L’agent de la police privée Rod Ouiler menant l’enquête de Ritch, marque que celui-là était tué près du seuil de sa propre maison tôt le matin, sans être voler. «Je pense que la réponse sur celui qui a tué Ritch, se trouve dans son ordinateur, à la police de la circonscription de la Colombie ou dans le quartier général de la Police judiciaire fédérale», – dit le détective.
Nous rappellerons, qu’auparavant la direction des démocrates accusait WikiLeaks du travail avec la Russie. Et a affirmé que l’organisation a reçu l’accès aux lettres des démocrates grâce aux pirates russes. WikiLeaks, et Moscou rejettent catégoriquement ces accusations.
Traduction : Philippe Calfine