La presse de la G-B : Pourquoi Telegram ne coopère pas avec les services secrets

À Londres sur le congrès consacré aux questions de la lutte contre le terrorisme, le chef de l’Euroconseil, Rob Ouzinait, s’est plaint que le créateur de l’application Telegram Pavel Dourov ne manifeste pas le désir de coopérer avec les services secrets pour déshabituer de cette application Djihadiste, qui se sert du succès spécial


Telegram est populaire parmi les jeunes Djihadistes, joignant Daesh (la structure est interdite dans la Fédération de Russie) en Syrie, ainsi qu’un des cyberterroristes les plus avancés britanniques.

Ouzinait a déclaré que maintenant; les combattants (interdits en Russie) du groupement extrémiste de Daesh élaborent le réseau personnel social, qui leur permettra de conduire les relations et la propagande sans problème.

Au dire d’Ouzinait, la création du réseau personnel social est la réponse à la pression du côté des services secrets des différents pays et les compagnies technologiques.

Cependant, si « Facebook » et « Twitter » coopèrent activement avec les services secrets, en leur aidant à prévenir la propagande terroriste, Telegram dévie une telle coopération .

Le fondateur de 32 ans de Telegram, Pavel Dourov, déclarait bien des fois que son application doit être libre.

«On ne nous plaît pas dans, la bureaucratie, les États policiers, de grands gouvernements, les guerres, le socialisme et les normes excessives», — cite Dourov.

«Nous aimons la liberté, de forts systèmes judiciaires, de petits gouvernements, les marchés libres, la neutralité et les droits civils», — continue à citer les postulats de Dourova.

Après l’attentat à Paris en 2015, quand il est devenu clair que les attaquants utilisaient pour l’essentiel Telegram pour les relations, la compagnie a fermé quelques chats dans l’application et a déclaré que le contenu extrémiste sera banni.

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Traduction : Philippe Calfine