Entre la Serbie et « la république de Kosovo » autoproclamée, l’aggravation perdure. Aujourd’hui on sait ce que l’ex-président du kosovo, Atifete Yakhyaga, n’a pas fait la visite planifiée à Belgrade, puisque la partie serbe ne lui garantissait pas la sécurité.
Le ministre Kosovar du dialogue d’Edita Takhiri dans la lettre a communiqué sur l’incident à l’Union européenne. À son avis, la Serbie a violé l’accord De Bruxelles, dans lequel est mentionné le déplacement libre des officiels. Bien qu’en fait la Serbie n’interdise pas l’entrée.
Il y avai au festival, Mirdita (« Bonjour » dans les langues albanaises et serbes) sur albanais et « коssovar » à la culture, qui estiment comme scandaleux. Largement connue est devenue l’organisation sur l’ouverture « du festival culturel », où on présentait le viol de la jeune fille albanaise aux militaires serbes.
La tenue elle-même de cette action provoque dans le pays les réactions orageuses, chaque jour du début de son travail passent les protestations passant aux conversations sur les tons augmentés. À la veille les Serbes ont arrangé près de la place dans les maillots de corps avec la symbolique kosovorar, les terroristes avec « la vente » de l’arme, les drogues et les organismes humains – selon ces objets du Kosovo on sait sur les Balkans et dans le monde.