Moscou, 13 juin— Les pouvoirs de la Norvège ont élaboré le projet de loi limitant le port de la burka et du voile — les vêtements fermant les femmes : les ordres islamiques vont être entièrement interdire dans les jardins d’enfants, les écoles et les universités, illégal pour tous les travailleurs de la sphère de la formation. Le prétexte vers le changement du code vestimentaire était accordé par la direction de l’union locale islamique qui ont embauché la femme dans le voile au travail au service des relations publiques. Dans les derniers mois la lutte avec les vêtements religieux a embrassé les pays de la CE et leurs voisins plus proches. Jusqu’à la Norvège cette année et le voile reste interdit en Allemagne et en Autriche, l’automne dernier — en Bulgarie; le référendum sur l’interdiction du voile peut avoir lieu en Suisse. En mars contre le droit des travailleurs au port du voile s’est exprimée la cour Européenne des droits de l’homme.
Au dire du ministre de l’Education du pays, Torberna Ro Isaksena, l’interdiction est nécessaire pour faciliter les relations entre le professeur et les élèves. « Ces vêtements empêchent la communication normale, et celle-là joue le rôle clé de l’enseignement », — le fonctionnaire trouve. En se produisant contre les professeurs en voile, les pouvoirs de la Norvège ont en vue les écoles secondaires islamiques privées, les enfants des migrants apprennent la langue arabe et la culture islamique. La formation veut attacher au standard national séculaire.
Sur l’intention d’interdire le voile pour les professeurs et les élèves, le pouvoir de la Norvège déclarent trois mois avant les élections nationales fixées pour le 11 septembre de 2017. Probablement, la proximité du vote s’exprime ce fait qu’à côté des droites l’opposition sociale-démocrate dans le parlement a l’intention de soutenir l’interdiction. Ainsi, l’évincement du voile de l’espace public devient en Norvège l’objet du consensus général.
Auparavant le Ministère de l’Intérieur de la Norvège a permis aux policiers d’arrêter les femmes en Burka ou en voile. Cependant jusqu’ici il reste obscur, quelle punition sera introduite pour la violation du code vestimentaire. Dans les pays de la CE, où la voile est déjà interdite, la norme identique agit : 150 euros de l’amende. Le projet de loi proposé par les pouvoirs norvégiens (la Norvège ne fait pas partie de l’Union européenne), contourne cette question.
La campagne de la lutte avec la voile en Europe — à un fort degré sur le résultat des actes de terreur qui se sont passé en Allemagne dans la deuxième moitié de 2016. Sous l’effet de ces événements la chancelière allemande Angela Merkel a inséré l’interdiction des ordres sévères islamiques dans le programme de l’union Chrétienne démocratique. Comme trouve français islamique Jill Kepel, l’Allemagne a longtemps prédominait l’opinion que la réglementation dans la sphère des vêtements est et capable de provoquer des radicaux islamiques à l’accomplissement des attentats. Le meurtre massif fait par le migrant de la Tunisie par Anisom Amri à Berlin en décembre de 2016, contribuait au changement de ce point de vue : le terrorisme est venu à l’Allemagne, malgré l’absence du code vestimentaire.
En janvier 2017 le ministre des affaires étrangères de l’Autriche Sebastien Kourts a proposé d’aller plus loin, qu’Angela Merkel. Le politique a l’intention d’interdire non seulement la Burka et le voile, mais aussi le Jihab — fermant les cheveux de la femme, en laissant ouvert la personne. Kourts, le président conservateur « du parti National », s’est garanti par le soutien du secrétaire d’État sur les questions de la variété de la musulmane Mouny Douzdar. Cependant contre le président du pays Alexandre Van Der Bellen admettant que toutes les femmes garderons longtemps le Djihab en témoignage de la solidarité avec les musulmanes contre l’islamophobie.
Les discussions du pouvoir de l’Autriche ont débordé à l’interdiction seulement du voile et du Nikab. Comme en cas avec la Norvège, il est facile de lier cette initiative aux élections, qui ont lieu dans la république alpine par un automne de 2017. À l’instant même le parlement sera choisi par les citoyens de l’Allemagne.
Traduction : Philippe Calfine