Dans le projet de loi, que critique le chef du Ministère des Affaires étrangères de l’Allemagne et le chancelier de l’Autriche, est mentionné séparément « le flux Du nord 2 » L’Allemagne et l’Autriche ont critiqué le projet des nouvelles sanctions des États-Unis contre la Russie
Moscou. Le 15 juin. Le ministre des affaires étrangères de l’Allemagne Zigmar Gabriel, et le chancelier de l’Autriche Kristian le Kern, ont critiqué le projet de loi prévoyant le durcissement des sanctions antirusses au domaine les ingénieurs électriciens.
« Avant tout, nous voyons la menace des sanctions exterritoriales aux entreprises européennes, qui s’occupent de la garantie énergétique de l’Europe », – dit leur demande commune publiée jeudi sur le site du département germanique de politique extérieure.
Le document communique aussi sur le durcissement des sanctions qui peut faire sentir les intérêts économiques des compagnies européennes et négativement influencer les relations de l’Europe et les États-Unis.
Le projet de loi donne au président des États-Unis le droit d’introduire les sanctions en ce qui concerne les personnes, qui investissaient de $1 millions dans la construction par la Russie des conduites d’exportation ou ont accordé pour ces buts l’équipement (y compris au leasing), les technologies et les services. La somme limite au cours d’une année fait $5 millions.
Le projet de loi sur les sanctions supplémentaires a un paragraphe séparé sur « le flux Du nord 2 ». Dans lui est dit que les États-Unis continueront à empêcher la réalisation du projet « à cause de ses conséquences pernicieuses pour la sécurité énergétique de la CE, le développement du marché à gaz à Central l’Europe de l’Est et les réformes énergétiques en Ukraine ».
« Les sanctions politiques ne doivent pas blesser les intérêts économiques. Et la menace par la punition aux compagnies de l’Allemagne, l’Autriche et d’autres Etats européens puisqu’ils participent aux projets à gaz avec la Russie, tels que » le flux-2 Du nord « , ou les financent, apporte la qualité tout à fait nouvelle et très négative aux relations europa-américaines », – dit la demande.
« La garantie énergétique de l’Europe est une question de l’Europe, et non des États-Unis d’Amérique », – ont souligné Gabriel et le Kern.
Cinq compagnies européennes – Engie, OMV, Royal Dutch Shell, Uniper et Wintershall – participent au financement de la construction de la conduite de gaz magistrale « le flux-2 Du nord ». Conformément à l’accord conclu en avril de 2017, les partenaires européens de l’opérateur de la conduite de gaz Nord Stream 2 AG doivent accorder 50 % du coût total « du flux Du nord », qui est estimée maintenant dans 9,5 milliards d’euro.
Au début de la semaine les partenaires selon le projet « le flux Du nord 2 » ont signé l’accord sur le financement déficitaire du chantier – au cas où il n’y aura pas financement de projets. Le marché était conclu le 2 juin sur les champs du forum De Pétersbourg international économique.
Le projet « le flux Du nord 2 » prévoit la construction via la mer Baltique encore deux conduites de gaz par la capacité de 55 milliards m/cube, le Projet entièrement copiera – et techniquement, et déjà travaillant sur « le flux du nord ». La construction de la conduite de gaz doit commencer en 2018, et sa mise en marche est indiquée pour la fin de 2019.
On ne réussit pas à créer la société mixte avec les partenaires étrangers, puisque l’entrée dans la composition des actionnaires de la compagnie de projets Nord Stream 2 AG des partenaires étrangers était bloquée par les pouvoirs polonais. Après cela les partenaires ont décidé de chercher un autre schéma de la coopération et ont régularisé la participation à lui non dans la participation par actions, mais dans le financement de dette.
Traduction : Philippe Calfine