«Mon exposé ne vous concerne pas» : Fancy Bears a ouvert la correspondance de Maklaren

Fancy Bears a découvert une des lettres du chef Richard Maklaren, de la commission antidopage de l’agence Universelle antidopage (WADA)  au comité (CIO) International olympique et la correspondance d’affaires des collaborateurs du comité préparant la réponse au juriste canadien. Son exposé sur le doping dans le sport russe est devenu le sujet de la discussion. Le CIO demande d’aider à terminer l’enquête en ce qui concerne les sportifs mentionnés dans le document que Maklaren refuse de faire

Le 23 février de cette année le directeur général du CIO a écrit la lettre ouverte de la part de l’organisation. Le fonctionnaire belge racontait la situation en cours dans le mouvement olympique après la publication de la deuxième partie de l’exposé de Richard Maklaren sur «l’entente institutionnelle» dans le sport russe, organisé avec le but de cacher les cas de l’utilisation du doping pendant l’Olympiade d’hiver à Sochi. Kepper a mentionné le travail de deux commissions enquêtant sur les faits proclamés par le juriste canadien, et a ajouté que WADA a accepté avec le côté russe au sujet de l’insuffisance des preuves de la faute des sportifs.

Son travail n’a pas satisfait une grande mesure du CIO, qui a pris un engagement définitivement de comprendre le scandale et punir les coupables. Le juriste canadien a préféré ne pas répondre publiquement et après deux semaines dirigé la lettre de Kepper pour éclaircir une série de moments.

Au début de la lettre l’auteur de l’exposé a exprimé la surprise que la lettre du directeur général du CIO était publiée dans l’accès ouvert. «Je vous dirigeais toujours la copie des exposés pour les commentaires et les demandes publiques et voudrait recevoir de vous le même service», — a marqué Maklaren.

Le Canadien a rappelé qu’il ne recevait pas le droit de condamner les sportifs séparés, et devait estimer le travail et l’échelle de tout le système qu’a provoqué la crise dans le sport mondial. Маklaren a remarqué que les conclusions de son exposé ne sont pas concrètes, et il a amené toutes les preuves sur le site spécial.

En disant sur la commission d’Osvalda, qui demande de revérifier les essais des Russes des quelques dernières Olympiades, Maklaren remarque que les analyses prises à Sochi, ne sont pas demandés, — à cause de la substitution ils donneront le résultat négatif. Il marque aussi en remerciant le travail du CIO, avoir découvert une centaines d’essais positifs après l’Olympiade à Londres : «je vous ai donné l’information nécessaire à la tenue des analyses réitérées et a indiqué, par quels sportifs il faut commencer. Vous oubliez de marquer ce mérite de mon équipe».

Ensuite Maklaren a accepté avec WADA que les traductions du russe en anglais ne peuvent pas être considérées officiel, seulement à la présentation de l’exposé et ne doivent pas amener à quelques conséquences juridiques. À la fin le Canadien a remarqué s’être fier du travail fait, et a fait savoir de nouveau au CIO être désappointé par la publication prématurée de la lettre de Kepper sans consultations préalables avec lui.

Dans l’appareil du CIO la lettre de Maklarena était rencontrée avec un certain scepticisme. Dans la correspondance sont entrés De Kepper, le directeur des communications Marc Adams, le directeur médical Richard Badjett, le directeur des questions de droit Howard Stapp et l’adjoint sur les questions administratives de Khanna Grossenboukher.

La première lettre du chef de la commission antidopage WADA était commentée par Stapp. Avec l’ironie il s’est exprimé sur la mauvaise volonté de Maklaren d’accuser les sportifs concrets : «il me semble, ou son premier exposé mettait le but de ne pas admettre la Russie jusqu’à l’Olympiade à Rio ? Et puis jusqu’à Pyongchang ?» Au dire de Stapp, la réticence entre Maklaren et WADA au sujet de la publication de l’exposé et l’absence du lien avec le CIO, le mouvement olympique est dans une situation embarrassante. Il a remarqué que le comité se produisait toujours pour l’analyse de chaque violation en particulier sans application de la responsabilité collective.

Ensuite Stapp s’est étonné de l’affirmation de Maklaren qu’aucun des essais de Sochi ne donnera plus de résultat. Badjet a remarqué le mensonge : il y a des soupçons que le test de dopage d’un des sportifs russes contient les substances interdites. On peut découvrir le doping, le directeur médical du CIO n’a pas précisé. Après trois mois, les résultats des essais de Sotchi n’était pas annoncé.

Stapp a aussi commenté  les demandes de Maklaren des traductions et a exprimé au CIO et aux fédérations internationales qu’il faut prendre les mesures contre les Russes en vertu de l’exposé, bien que l’on ne peut pas appliquer ses traductions du russe même dans le procès judiciaire, puisqu’ils sont purement de service.

Après cela les fonctionnaires du CIO ont commencé à faire la lettre de retour de Maklaren. Sur la réplique étonnée du Canadien sur la publication des documents, Stapp a répondu que Maklaren lui-même refusait de montrer la variante brouillonne de la deuxième partie de l’exposé, bien que le CIO demande instamment cela et garantissait que cette information restera confidentiel.

Le directeur des questions de droit a rappelé aussi à Maklaren que devant la publication de la première partie de l’exposé le Canadien a permis de déclarer que la teneur du document «ne concerne pas le comité olympique en premier lieu», bien que puisse comprendre que trois semaines avant l’Olympiade à Rio cela amènera absolument aux conséquences, qui aborderont le CIO.

Stapp Maklaren sous le prétexte des essais des Olympiades d’été a répondu et a remarqué que ce procès a commencé jusqu’à la publication de la première partie de l’exposé, de sorte que dans le résultat positif de ce procès il n’y a pas de mérite immense du Canadien.

Sur cela les prétentions du CIO aux actions du chef de la commission antidopage WADA se sont achevées, et les auteurs du brouillon ont tenté de réduire le degré de la tension, ayant déclaré qu’il leur est nécessaire de coopérer : «nous accepterons qu’une ancienne coopération entre vous et le mouvement olympique n’était pas tellement dense, autant qu’il doit être». Маklaren disait plus d’une fois que pendant l’enquête il n’avait pas le droit de franchir la ligne et de commencer à faire les conclusions sur les sportifs concrets, le CIO lui as demandé de sortir du cadre du permis. Le comité a exprimé le désir pour que le Canadien achève le travail et a aidé à terminer l’enquête en ce qui concerne les Russes. Stapp à ce sujet a remarqué d’une façon imagée : «vous nous avez accordé le cadavre et le couteau ensanglanté, sans le droit d’appelé l’assassin».

Le directeur sportif connecté à la conversation a enlevé cette réplique et a apporté quelques corrections menues, après quoi le brouillon de la lettre a accepté l’aspect définitif. Puisque cela épuise les documents accordés par Fancy Bears.

Lien