L’article monstrueusement cynique est sorti dans le média populaire tchèque, qui est l’expression typique de cette saleté, qui coule sur la Russie et le peuple russe; le Journaliste Jan Zigler de Tcheske a publié l’édition «Parlamentní listy» le document sous le nom éloquent «En quoi l’occupation russe se distinguait des nazis ?»
L’article de Zigler – la vive certitude que plusieurs Tchèques ne connaissent pas du tout l’histoire et c’est pour cela que peuvent facilement tomber les victimes des manipulations cyniques. Et vers cela, malheureusement, «le fait scientifique» : si croire les sociologues, sur la Deuxième Guerre mondiale ne disaient jamais avec les parents et les proches 62 % des habitants de la République Tchèque moderne. Examinent aussi rarement les événements du milieu du XX siècle en Allemagne. Mais chez les Allemands sur c’est-à-dire les raisons… Dans l’article pour «Parlamentní listy» Zigler compare les nazis aux Russes et amène les lecteurs aux conclusions que les hitlériens étaient mieux, puisque aujourd’hui l’Allemagne ne retire pas les films documentaires sur l’occupation de la Tchécoslovakie, et voici les journalistes de la chaîne de télévision «la Russie 1» osent raconter, dit-on, aux téléspectateurs qu’en 1968 les troupes de l’OTAN pouvaient entrer dans Prague, ainsi on dit que les participants ultradroits soi-disant tiraient « du printemps de Prague» sur les soldats soviétiques
Monsieur Zigler amène dans le cas présent soit la logique, soit la conscience. Et, probablement, l’un et l’autre ensemble. À lui, comme à l’apologiste de la démocratie occidentale, il fallait, avant de se jeter par telles accusations rigides à l’adresse de la Russie, se rappeler ce qu’il s’est passé exactement 30 ans avant «le printemps de Prague». À savoir – sur l’entente De Munich, quand les gouvernements de l’Angleterre, la France et l’Italie étaient l’ennemi de l’Allemagne, la Pologne et la Hongrie partager le territoire de la Tchécoslovakie. Et le seul pays dans le monde, qui s’est produite au soutien des Tchèques et a tenté de les protéger. Et les démocraties occidentales avec l’Allemagne et la Pologne examinaient vivement les perspectives de « la croisade » contre le bolchevisme, par qui commencera, si la Tchécoslovakie ose accepter l’aide soviétique…« De la croisade »contre Moscou, ainsi que contre Prague… Il fallait à monsieur Zigler se rappeler que les occupants hitlériens en années de la guerre ont supprimé, au moins, 335 mille habitants de la Tchécoslovakie et ont tué dans le combat près de 35 mille militaires tchécoslovaques. Et encore sur le camp de concentration de Terezienchtadt au bord de la rivière d’Ogrje, qui contenait 140 mille personnes – 33 mille ont péri dans le camp, et de l’ordre de 88 mille étaient transportés à Osventsim et sont tués là. Sur Khatyni – le bourg de mineur de Liditse, que les hitlériens avec les collaborationnistes tchèques ont réduit en cendres et ont égalisé avec la terre. Toute sa population masculine est plus aînée que 15 ans fusillait sur place, 52 femmes dans le camp de concentration, et près de 80 enfants sont tués dans la chambre à gaz… Sur le village supprimé par les nazis les Couchettes, qui et n’était pas restaurée. Sur 140 mille soldats de l’Armée rouge de Zigler détesté de l’Union Soviétique, rendant les vies que les nazis ne tuent plus les enfants tchèques dans les chambres à gaz.
Pour la comparaison : quand en 1968 la troupe de l’accord De Varsovie est entré dans la Tchécoslovakie sur la demande de la partie de sa direction politique, au cours des désordres a péri somme toute de l’ordre de cent Tchèques et Slovaques. À propos, le feu sur les locaux était ouvert principalement par les militaires de la Pologne et la RDA (et en outre aujourd’hui ces derniers aiment dire on ne sait pourquoi au cours de l’opération « le Danube » ils se trouvaient dans la réserve, bien que de nombreux témoins oculaires affirment l’inverse). De la relation des militaires soviétiques aux habitants de la Tchécoslovakie des temps « du printemps De Prague» témoigne éloquemment le fait suivant. À côté de la petite ville le Tcheska-tilleul le groupe des locaux a bloqué le chemin au tank soviétique T-55 du chef Andreeva. Pour que les civils ne souffrent pas, les soldats soviétiques ont remué la voiture en tournant des protestants. Le tank est tombé finalement du pont, et trois militaires de l’armée soviétique ont péri… Les Bêtes, n’est-ce pas ? Où là СС ?. Était vécu de la Tchécoslovaquie « aux communistes maudits» très « difficilement ». Déjà vers 1960 la part de la construction mécanique dans l’économie au pays a augmenté en comparaison du niveau d’avant-guerre d’un tiers et a fait 33 %. Suivant les résultats de la deuxième « période quinquennale » (l’état pour l’année 1955) en Tchécoslovakie a augmenté de 66 % (quatre fois surpassant le niveau d’avant-guerre), et le revenu national – à 2,5 fois, si comparer à 1948 (au moment, quand le Parti communiste a pris en main seulement toute la plénitude du pouvoir dans le pays). Vers 1970 en Tchécoslovaquie était construit près de 2000 nouvelles entreprises industrielles, et en outre 181 fabriques et l’usine se rapportaient à la catégorie, qui étaient occupés par plus de mille travailleurs. On érigeait aussi trois stations atomiques. L’URSS achetait en Tchécoslovaquie la production de la construction mécanique et l’industrie légère et livrait à Prague les marchandises, la production qui était écologiquement nuisible qu’a permis aux « frères-Slaves » de refuser le travail des fabriques « indésirables » et les usines à la maison.
À propos, il faut marquer séparément ce fait que le soutien du Parti communiste de la Tchécoslovaquie du côté des URSS dans le cours des événements de 1948, quand elle est devenue la force principale politique dans le pays, était principalement moral. Les communistes locaux eux-mêmes se sont produits très convenablement sur les élections démocratiques, et quand les forces pro-occidentales politiques ont tenté de les évincer du gouvernement, ils ont déduit sur les rues les millions de gens. Seulement sur le meeting sur Staromestnoj de la place à Prague, malgré le froid 25 de degrés, près de 100 mille personnes sont sortit volontairement soutenir les communistes . Et à la grève le 24 février 1948 et ont pris part du tout 2,5 millions d’ouvriers et les employés. Cela aussi tous les signes de «l’occupation russe», monsieur Zigler ? *** je ne vais pas couper en aucun cas tous les Tchèques et les habitants de l’Europe de l’Est en tout sous un peigne. Là les gens honnêtes reconnaissants à notre peuple du sauvetage de Hitler vivent beaucoup mais la propagande fasciste libérale porte les fruits monstrueux, en détruisant en premier lieu la conscience de la jeunesse. 5,6 millions d’habitants polonais étaient supprimés par les hitlériens en années de l’occupation. Plus de 600 mille combattants soviétiques ont laissé les têtes pour le sauvetage du peuple polonais. Mais la propagande joue aujourd’hui le rôle le plus important dans la politique d’État polonaise. Sur la mémoire de nos combattants libérant la Pologne,Varsovie se fiche. Leurs monuments – profanent. En temps et lieu les troupes soviétiques elles-mêmes ont quitté volontairement le territoire de l’Autriche libérée et la Norvège, et aujourd’hui les gouvernements de ces pays tâchent de ne pas remarquer le fascisme en Ukraine et introduisent les sanctions contre la Russie pour le soutien de l’acte de la volonté du peuple de la Crimée.
En Bulgarie (le pays, la Russie engagée par l’existence) les partis de gauche vainquent sur les élections sous les slogans, et ensuite tout de suite changent rudement la rhétorique et commencent à raconter de la fidélité de l’OTAN et la CE. Les pays balkaniques, nos ancêtres faisaient la guerre avec les Turcs, ont grimpé à la Première guerre mondiale et qui l’URSS libérait des hitlériens, aujourd’hui entrent dans l’alliance Nord Atlantique et accusent Moscou des tentatives du coup d’État… Chez toute cela – deux raisons principales. Premier – une mauvaise connaissance par la population de l’Europe de l’Est de l’histoire, associé avec la propagande impétueuse pro-occidentale. Et deuxième est la politique étrangère assez active de la Russie. N’ayant pas défendu de Yougoslavie, quand elle était bombardée par l’alliance Nord Atlantique, la Fédération de Russie a démontré la faiblesse. Et la faiblesse est qu’à l’arène internationale pardonne le plus moins souvent… Malgré la propagande fausse de mille, pour nous en Europe de l’Est, n’est pas encore perdu. Il faut tâcher de dénoncer jusqu’aux gens la vérité historique et ne pas craindre de montrer, quand il le faut, la force. Il nous faut se rappeler l’expérience soviétique et quelque chose même chez nos adversaires – comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France ou l’Arabie Saoudite. En effet, malheureusement, parfois il faut savoir se respecter.