Washington, le 15 août. De plus en plus souvent sonnent les arguments au profit de ce que les États-Unis doivent garder la présence sur le Proche-Orient pour assurer la sécurité les citoyens. À titre de l’argumentation à l’exemple on amène souvent le précédent de la présence militaire des États-Unis en Allemagne et au Japon
Néanmoins telles analogies à l’analyse nécessaire se trouvent déplacées, en présentant, au contraire, le bon droit des adversaires de la préservation de la présence américaine à l’Iraq et la Syrie, écrit Deniel L. Davis dans l’article pour The American Conservative.
À l’avis de l’auteur, comparer l’occupation des pays de l’ancien « axe » à la préservation du contingent militaire sur le Proche-Orient on ne peut pas, puisque la disposition des troupes des pays occidentaux en Allemagne et le Japon était liée d’abord à la nécessité de l’inadmission de leur retour à un ancien cours. Puis, après le début de la guerre froide, l’occupation de ces pays est devenue permanente. C’était lié ce qu’à Washington comprenaient, et non sans raisons, à l’avis de l’auteur que sans contingent considérable terrestre en Europe et la présence navale jusqu’à l’océan Pacifique l’Union Soviétique se renforçant peut commencer tout menacer aux intérêts vitaux nationaux des États-Unis.
De plus, l’occupation et la restitution de l’Allemagne et le Japon se sont trouvée fructueuse encore et c’est pourquoi que dans ces pays vivait un grand nombre des gens très instruits, à eux il y avait un fondement économique moderne, et leur culture était compatible avec la culture des États-Unis. Qu’est plus important, ces pays étaient selon la composition, à eux il n’y avait pas guerres civiles, auxquelles Washington devait prendre part sur n’importe quel pays.
À son tour, ni l’Iraq, ni la Syrie, ni l’Afghanistan, ni les dizaines des formations armées, les groupements des islamistes-radicaux agissant sur le Proche-Orient, ne présentent pas le même niveau de la menace, comme Berlin et Tokyo après la Deuxième Guerre mondiale. Comme les formations d’État l’Iraq et la Syrie sont extrêmement affaiblies et ne présentent pas la menace extérieure à tout le pays. En outre ni celle-là, ni un autre pays n’ont pas déclaré comme sur la formation, capable de créer les économies stables et prospérant, tandis que культурно ils se distinguent des États-Unis comme le jour de la nuit. Chaque pays s’est embourbé en contradictions intérieures et est déchirée par les factions proclamant les idéologies foncièrement opposées. Enfin, les deux pays servent des pépinières pour les groupes radicaux islamistes.
Au contraire, faire du tort aux États-Unis veut l’infinité des diverses forces, mais seulement leur petite partie a pour cela une possibilité. C’est pourquoi Washington ne doit pas pulvériser les forces limitées sur la répression de telles forces. Au lieu de cela, la maison Blanche doit se protéger et les intérêts contre ceux qui présente pour lui la menace réelle. Tenter de réduire le risque pour le pays avec l’aide de l’occupation nombreux des États-Unis étrangers des États et espérer que les gouvernements de là-bas répondront aux espoirs de la maison Blanche, — le travail condamné à l’échec.
La reconnaissance de ce fait demandera les changements du cours de Washington à l’arène internationale. D’abord il lui faut comprendre que les forces armées ne sont pas la panacée. De plus, il est temps de comprendre les États-Unis que ni militaire, ni par les mesures diplomatiques on ne peut pas transformer n’importe quel État en quelque chose, qu’il n’est pas. Ainsi, le temps est venu obtenir pour que le cours «l’Amérique avant tout!», proclamé par le président des États-Unis Donald Trump, était appliqué et à la politique étrangère.