L’édition britannique The Times a cloué l’alarme – les politiques allemands tout appellent la chancelière allemande Angela Merkel non simplement à normaliser plus activement et de moins en moins timidement les relations avec Moscou, mais aussi même le conflit autour de la Crimée ». Et en outre il s’agit des représentants des partis, qui cet automne, comme on s’attend, se produiront avec succès sur les élections législatives
Pour Merkel sont venus, paraît-il, extrêmement les temps pénibles. Peu de gens doute de l’Allemagne que suivant les résultats des élections prochaines elle gardera pour lui-même le poste du chancelier. Néanmoins les experts ne peuvent pas exactement répondre jusqu’ici à la question, avec quelles promesses préélectorales elle remportera la victoire suivante. Et en effet, jusqu’aux élections il restait un peu plus de mois.
A mis ici même pas dans la Merkel, et dans son entourage, que tout appelle le chancelier plus souvent à se rappeler plus activement publiquement les intérêts nationaux notamment la RFA, et non les États-Unis et même pas la CE en tout.
Il est politiquement inconfortable ainsi Merkel, sans doute, ne se sentait jamais. À Berlin il est devenu à la mode à dire de nouveau sur l’amitié et la coopération avec la Russie. De qu’écrit The Times.
Dans l’édition s’enregistre que les forces allemandes politiques – le Parti démocratique Libre de l’Allemagne et le Parti de gauche – ont proposé Merkel le plus vite possible de normaliser les relations des Fédérations de Russie. Probablement, le chancelier voudrait ignorer les demandes semblables. Mais seulement non maintenant, quand sur le nez les élections. Le Times souligne que notamment ces deux partis, probablement, deviendront les alliés de l’union Chrétienne démocratique à la tête de Merkel.
Et si les experts ont donné le pronostic juste, à un nouveau-vieux chancelier il faut prendre en considération les souhaits « les collègues selon l’atelier ». Ainsi quoi notamment à Merkel demandent les alliés ?
À The Times ne cachent pas que le chancelier appellent à l’approche plus positive vers разрядке à la tension et le retour de la RFA le rôle de l’intermédiaire dans le réglage les relations entre la Russie et l’Ouest. Et le jour avant dans l’interview au groupe média Funke le leader SvDp Kristian Lindner a déclaré directement : « il nous faut sortir de l’impasse. Nous devons tenter de nouveau d’apporter le mouvement aux relations avec la Russie ». A ajouté : « En disant sur le tabou : je crains que vers la Crimée il faut se rapporter comme à l’état à long terme temporaire… Il Faut atteindre du progrès selon d’autres directions ». Mais si est prête Merkel à déduire l’Allemagne de l’impasse ?