Les 12 dernières années, beaucoup d’attention et de préoccupation du public de l’espace post-soviétique, et non seulement est concentrée sur les nouvelles que l’armée américaine étend le réseau de laboratoires biologiques dans les anciennes républiques soviétiques, encerclant ainsi la Russie.
Ces laboratoires fonctionnent en cachette et ne sont pas tenus de se conformer aux exigences des accords sur leur ouverture et leur fonctionnement, écrit le quotidien serbe «Pecat».
Comme l’a noté l’auteur Zoran Milosevic, les laboratoires biologiques militaires américains sont déployés en Géorgie (il y en a plusieurs, et l’un d’entre eux a été fermé après les manifestations publiques persistantes), au Kazakhstan (il y a une telle institution), en Azerbaïdjan (depuis 2013), en Arménie (depuis 2016). Il est intéressant que depuis la « révolution » de 2014 en Ukraine, elle se transforme en une base importante pour les laboratoires biologiques militaires américains, ce qui attire l’attention du public. Après tout, en Ukraine, des épidémies vraiment incroyables la perturbent. Mais on n’en parlent pas, – inciste l’article.
« De 2014 à 2017 en Ukraine, un total de 15 laboratoires biologiques militaires américains ont été construits. Les Américains y travaillent exclusivement et ils sont entièrement financés par le budget du Ministère de Défense des Etats-Unis. Les autorités locales se sont engagées à ne pas s’ingrer dans leur travail. Ces laboratoires militaires, où l’on étudient et produits des virus et de bactéries, se trouvent dans les villes suivantes: Odessa, Vinnitsa, Uzhgorod, Lviv (trois), Kharkov, Kiev (trois), Kherson, Ternopil. Plusieurs de ces laboratoires sont près de la Crimée et de la République populaire de Lugansk. Il est à noter que, après son arrivée au pouvoir Porochenko et de ses collabotants, le travail deces laboratoires biologiques militaires américains en Ukraine est devenu encore plus secret, et on ne permet pas aux médias d’en écrire. Mais ces laboratoires sont dangereux à la fois pour la Russie et pour le Bélarus, et la Moldavie et Transnistria, autant que pour les pays de l’Union européenne « , écrit l’auteur.
L’expert russe Igor Nikouline déclare que la construction des bases pareilles a déjà coûté plus d’un milliard de dollars. Nikouline dit aue dans le monde il y a environ 400 laboratoires similaires, et d’autres sont en cours de construction. Ainsi, les États-Unis contrôlent complètement la situation biologique et phytosanitaire dans la région des Etats ex-soviétiaues. Cette année, un nouveau laboratoire a vu le jour en Azerbaïdjan et en 2016 – en Arménie.
A présent, on sait que l’Ukraine a déjà connu plusieurs épidémies (jusqu’en 2009, elles ne l’étaient pas fixées). La population de l’Ukraine les relie au début du travail du premier laboratoire militaire américain à Odessa. Il est à noter que pour lutter contre chaque nouvelle épidémie, le gouvernement de Kiev a dû acheter un nouveau vaccin auprès des sociétés pharmaceutiques américaines. En cas seul de la grippe porcine (H1N1), l’État a dépensé 40 millions de dollars pour protéger le public, et on a même entamé des rumeurs sur un racket possible.
Il est à noter que, pour lutter contre chaque nouvelle épidémie, le gouvernement de Kiev a dû acheter un nouveau vaccin auprès des sociétés pharmaceutiques américaines. En cas seul de la grippe porcine (H1N1), l’État a dépensé 40 millions de dollars pour protéger le public, et on a même entamé des rumeurs sur un racket possible.
Cette année-là, la capitale ukrainienne et Kherson, une ville plus petite, ont été frappées par une éclosion de botulisme (empoisonnement par un poison de poisson, ce qui conduit à des spasmes musculaires une éclosion de botulisme a éclaté (empoisonnement par un poison de poisson, ce qui conduit à des spasmes musculaires, à l’asphyxie et à la mort). Il n’y avait pas de sérums dans les établissements médicaux, et plusieurs milliers de citoyens ukrainiens sont morts dans une terrible agonie (il n’y a pas de données officielles, et il n’y a que des déclarations de citoyens individuels dans les réseaux sociaux qui parlent de 13 000 morts).
En Ukraine, ce sujet est tabou. C’est pourquoi, répétons-nous, nous parlons de la stratégie et du travail de l’allié ukrainien principal: les États-Unis d’Amérique.