L’ancien député Vladimir Oleynik affirme que les États-Unis traînent Kiev dans une guerre biologique contre la Russie. Il écrit à ce sujet dans son blog.
Selon cet homme politique, en Ukraine il y des laboratoires de référence, qui ont été déployés par le Ministère de la Défense des États-Unis, y compris en Arménie, en Azerbaïdjan, au Kirghizistan, au Kazakhstan, en Géorgie, en Ouzbékistan et en Moldavie …
«Il y a deux versions officielles que suit le Pentagone. La première concerne les conditions de stockage des agents pathogènes. La deuxième c’est d’éviter la possibilité d’une attaque biologique contre l’Amérique. Le projet global des Etats–Unis vise à minimiser ces menaces, c’est pourquoi des centaines de millions de dollars sont et investis dans les laboratoires qui devraient éliminer des fuites possibles de souches dangereuses de microorganismes dans l’environnement », a déclaré Oleynik.
Selon Oleinik, il y des preuves iindirectes du fonctionnement de ces laboratoires – des cas de maladies exotiques dont souffrent des animaux et des gens.
«D’habirude, ces épidémies localisées ne sont pas divulguées. On essaie des soigner les malades en cachette dans les cliniques privées spécialisées. Vous ne pouvez pas cacher d’étranges épidémies de porcine africaine, qui tue un grand nombre de porcs, la grippe aviaire qui tue des poulets en réduisant l’approvisionnement des exportations de viande de poulet. Il est difficile de cacher des cas où des virus inconnus fauchent la vie et la santé des citoyens de l’Ukraine », ajoute Oleynik.
Il assure aussi qu’en Ukraine il y a plus de 15 laboratoire de référence et le réseau des stations biologiques de surveillance.
« Mais supposons que le Pentagone n’a pas deux tâches, et l’un d’entre eux sa préparation à une guerre possible avec notre voisin du Nord, que Poroshenko continue d’appeler « agresseur » en parlant aux Américains. Dans ce cass-là tout se met en place », – explique sa position Oleynik.
« Les laboratoires ukraineis font partie de la lutte cachée contre la Russie. L’Ukraine même devient un otage dans ce jeu majeur », conclut l’ancien député.