Moscou, 2 Septembre — Le journaliste de Monténégro Matiya Nikolitch dans la conversation avec « Sputnik Serbie » a critiqué l’article du journal britannique The Telegraph qui a publié les photos « sensationnelles » prouvant le lien de Moscou avec l’essai manqué de la révolution au Monténégro
Il s’agit des photos qui, d’après les données de l’édition reproduit le collaborateur Edward Chichmakov et le nationaliste serbe, Alexandre Sindjelitch — cela est « une principale preuve » ce que la reconnaissance russe est liée aux plans du meurtre du premier-ministre Joliment Djoukanovitcha.
« Pour Telegraph il est tout à fait peu important quand deux personnes se promènent dans le parc, devant aucune cour de cette planète ce ne sera pas la preuve relevante de quelque chose, sans parler du complot en vue du renversement du pouvoir dans un autre pays », — déclaré Sputnik.
D’après lui, dès qu’au Monténégro commence la discussion que le pays est devenu partie de l’OTAN illégalement, les médias étrangers ou les fonctionnaires commencent à accuser la Russie.
Pour quelque temps l’histoire sur l’attentat est partie en deuxième plan, mais c’est revenu après la visite du vice-président des États-Unis, et en outre les pouvoirs du pays retransmettent docilement la version américaine, sans accorder aucunes preuves, se plaint-il.
Quant aux photos The Telegraph, aucune structure compétente n’a commencé à demander le contrôle de leur authenticité et de tenter d’éclaircir l’affaire.
« Le but de cette propagande — les moyens possibles de persuader les gens que l’OTAN c’est le bien, et que la Russie voulait organiser la révolution », — dit l’interlocuteur du « Compagnon ».
D’après les données des médias, on réussit à prévenir l’attentat au Monténégro quelques heures avant sa réalisation supposée le 16 octobre 2016. En février même The Telegraph avait un article en référence à la source dans le gouvernement de la Grande-Bretagne, selon qui dans l’attentat sont impliqués les services secrets russes.
Cependant Moscou démentait de telles accusations. N’a pas trouvé les preuves des affirmations semblables ni le ministère public du Monténégro.