Le pape François a appelé à rompre la « violence » politique au Venezuela.
Il demande de trouver une solution à la « grave crise » qui frappe ce pays, au dernier jour dimanche de sa première visite pontificale dans la Colombie voisine.
« Je voudrais assurer que je prie pour chacun des pays latino-américains, et de manière spéciale pour le Venezuela voisin », a déclaré le souverain pontife argentin, qui termine son voyage par Carthagène des Indes.
« Je lance un appel pour que tout genre de violence soit rejeté dans la vie politique et qu’on trouve une solution à la grave crise en cours, a-t-il ajouté à la fin de la prière de l’Angelus dans l’église de San Pedro Claver, un jésuite comme lui et défenseur des esclaves dans les Caraïbes colombiennes du XVIIe siècle.
Le pape avait déjà lancé un appel pour le Venezuela le jour même de son arrivée en Colombie mercredi, et avait rencontré à Bogota des évêques et des cardinaux de ce pays plongé en plein marasme politique et économique.