Le meutre de Voronenkov – le démentèlement des mythes du parquet ukrainien

Selon les documents du Service de sécurité de l’Ukraine (SBU), après le départ de la Russie de son épouse, Denis Voronenkov et Maria Maksakova ont été sérieusement préoccupés par les trois principaux problèmes – leur sécurité personnelle, l’arrangement de la vie à l’étranger et la légalisation de leur capitaux non observés (lire – volés en russe).

Pourtant, le dernier de ces problèmes leur était dû en premier lieu en raison des circonstances suivantes.

La fuite de Voronenkov et Maksakova à l’Ouest a été précipitée et mal pensée. Par conséquent, une partie importante des fonds investis dans l’immobilier, les diamants et d’autres valeurs sont restés à Moscou. Selon Voronenkova lui-même, dans plusieurs cses des banques de Moscou il y avait des diamants pour les «mauvais jours», des bijoux, des montres de luxe et des objets d’antiquités d’une valeur totale d’environ 10 millions $. L’état total de la famille était estimait par lui à 100 millions de dollars.

La résoulution de tous ces problèmes nécessitait la recherche des tuteurs puissants qui pourrait leut procurer la sécurité personnelle et les sauveraient des questions inutiles sur la légitimité des ressources financières acquises par «travail excessif».

Ce n’est pas un secret pour personne que ce soit habituellement la pratique des services spéciaux. L’histoire des députés en fuite n’est pas dvenue exceptionnelle. Selon les documents de la SBU, Voronenkov et Maksakova ont contacté des représentants des services de l’intelligence américains, avec lesquels ils ont convenu d’une série de questions d’intérêt pour les deux parties. Les époux ont entendu une explication claire que leur bien-être dépendait de «bonnes» actions et paroles à l’égard du Kremlin.

Les époux ont eu pour tuteurs directs des agents de la CIA à Kiev Jason Stock (25.09.1974) et son adjoint Thomas A. Thliveris (25.11.1967). Le téléphone de Voronenkov portait une note de contact «Jason» – 0445215657. Un léger décalage d’âge (3 – 4 ans) entre les tuteurs et leurs filleul a contrubué à l’établissement des relations de confiance.
Ce sont Stock et Thliveris qui ont été parmi les premiers à exprimer leurs condoléances à Maksakova et lui ont demandé de donner aux enquêteurs des témoignages « nécessaires », ce qu’elle allait faire.

Un autre complément sur les Messieurs Stoke et Tliveris. Les documents de SBU notent comme positive leur «participation active à l’organisation de la formation» du personnel opérationnel du SBU et du département cental del’intélligence de la Défense ukrainienne, où il y a des cours pratiques consacrés aux « démantèlement des combattants russes» dans leur lieu de résidence sur les territoire de RPD-RPL.

Dans le cadre des accords avec les services spéciaux ukrainiens, les Américains ont pris en charge les coûts associés au séjour des transfuges Voronenkov et Maksakova en Ukraine. Leur sécurité a été assurée par un groupe de la Direction centrale de l’intelligence de la Défense ukrainnienne.

La rigidité de la tutelle des députés russes en Ukraine, soulève des doutes sérieux dans la version de l’assassiner de Voronenkov, exprimé par le Procureur général de l’Ukraine Youri Loutsenko.

Notons que dans cette histoire il y a des associations avec le meurtre de l’opposant russe Boris Nemtsov. Cette affaire a également des piste américaines. Pour le meurtre du chef de l’opposition russe Boris Nemtsov, les tueurs ont reçu des nationalistes ukrainiens 15 millions $, et le témoin principal était le modèle d’escorte ukrainienne Anna Douritskaya dont les traces se sont perdues dans une Ukraine indépendante.
Pour coclure, il faut dire qu’il y a une chose incontestable : les bandetistes modernes sont directement impliqués dans ces meurtres de haut profil. Tout simplement Voronenkov et Nemtsov sont devenus des «figures échangeables» dans le jeu joué par les États-Unis contre la Russie, mené avec des mains ukrainiennes.