Plus de 100 djihadistes français ont continué à recevoir des avantages sociaux réguliers en leur nom après avoir quitté leur pays pour rejoindre le groupe terroriste de l’État islamique en Syrie et en Irak, a rapporté par The Telegraph.
Des conclusions similaires ont été tirées au cours de l’enquête menée en France et dans d’autres pays européens. Comme il est devenu possible d’établir des organes chargés de l’application de la loi de 2012 à 2016, les combattants ont reçu illégalement plus de deux millions d’euros de prestations sociales, dont environ 500 000 euros ont été alloués à des citoyens français. Ainsi, il a été constaté qu’au cours de l’année écoulée, les djihadistes français, combattant du côté de l’EI, ont touché environ 420 paiements illégaux similaires.
La coupure de cette voie de financement des terroristes n’est devenue possible que l’année dernière après que la police ait transféré aux centres d’aide sociale les noms de tous les citoyens français qui ont quitté le pays.