Le Qatar qui va recevoir la Coupe du monde de 2022, a promis une série de réformes du travail en réponse aux critiques sur son traitement des travailleurs migrants, mais les promesses devraient être soutenues par de nouvelles lois et actions concrètes, selon des groupes de défense des droits humains.
Quelques semaines avant l’Organisation internationale du travail (OIT) a décidé d’enquêter sur l’abus des travailleurs dans l’Etat du Golfe, le Qatar s’est engagé à instaurer un salaire minimum et à permettre le contrôle des pratiques de travail par des inspecteurs qualifiés.
Le Qatar a également proposé des mesures visant à limiter les restrictions imposées aux travailleurs migrants pour changer d’employeur et à supprimer les restrictions empêchant les travailleurs migrants de quitter le pays sans la permission de leurs employeurs.