Ces exercices aériens, d’une très grande ampleur et qui dureront deux jours, impliqueront des chasseurs-bombardiers, des avions-cargos semi-lourds et légers, des avions de reconnaissance et d’interception, des avions ravitailleurs ainsi que des drones de différents types dans une très vaste zone située dans la périphérie de la cité historique d’Ispahan.
Selon le général de brigade, Massoud Roozkhosh qui est le porte-parole du centre de commandement de ces opérations, » l’ensemble des appareils présents à ces manœuvres aériennes partiront en mission de façon intermittente et à toute heure pour identifier et intercepter des cibles ou encore collecter des informations ».
Les éléments présents s’adonneront aussi aux exercices de défense passive, et ce, suivant la dispersion des cibles à abattre, cibles « déguisées », « dissimulées » ou » dispersées ». Les manœuvres comportent un volet cybernétique qui consiste à identifier les cyberattaques visant les systèmes de contrôle et d’interception des vols. »