Les Etats-Unis ont officiellement accusé la RPDC de répandre le virus WannaCry, qui avait frappé des milliers d’ordinateurs à travers le monde en mai dernier; cette déclaration a été faite par l’Assistant présidentiel pour les affaires de sécurité Thomas Bossert dans un article publié lundi dans le « Wall Street Journal ».
« Après une enquête approfondie, les Etats-Unis imposent formellement la responsabilité d’une attaque à grande échelle du virus WannaCry contre la Corée du Nord », peut-on lire dans la publication.
Bossert se réfère aux conclusions des services de renseignement britanniques et Microsoft, qui suggèrent également que les pirates sont autorisés par les dirigeants de la RPDC.
Selon lui, le président américain Donald Trump prendra toutes les mesures nécessaires pour convaincre les autorités des autres pays de repousser la menace nord-coréenne dans le domaine de la cybersécurité, et entend également introduire de nouvelles sanctions contre le Pyongyang via le Conseil de sécurité des Nations unies.