Le Trésor américain, dans une action hostile et injuste, a sanctionné vendredi 14 nouvelles personnes et entités iraniennes et étrangères en les accusant des violations des droits de l’homme ou d’avoir lien avec le programme balistique de Téhéran.
Le président américain a confirmé vendredi la suspension des sanctions économiques contre l’Iran dans le cadre de cet accord conclu avec Téhéran et les autres grandes puissances (Chine, Russie, France, Allemagne et Royaume-Uni). Mais la Maison Blanche a prévenu qu’il s’agit «de la dernière suspension».
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Le Trésor américain a ainsi ajouté vendredi le nom de 14 personnes ou entités iraniennes sur sa liste des sanctions pour des violations des droits de l’homme ou des liens avec le programme balistique de Téhéran.
Ces mesures visent notamment le chef de l’Autorité judiciaire Sadegh Amoli Larijani, le directeur de la prison de Rajaee Shahr et également l’organisation de la cyberdéfense du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI), le Conseil suprême et le Centre national pour le cyberespace, la société pour le soutien et la modernisation des hélicoptères Iraniens, la société iranienne Nemad Arman.
En plus, le nom de deux citoyens chinois, la société chinoise Bochuang Ceramic et la société Green Wave Telecommunication fondée en Malaisie figurent sur la liste des sanctions américaines.