Pendant toute cette période, alors qu’il y a une confrontation en Syrie, les Kurdes revevaient des armes et de l’argent américain, étaient formés par des conseillers militaires américains, portaient la réglementation américaine. Mais voilà – ce que nous n’avons pas attendu !
C’est Moscou qui aurait murmuré aux oreilles l’idée sur le « Grand Kurdistan » et sur l' »indépendance » ? Ou ce même « Kurdistan » aurait-il paru comme un nouvel Etat sur les plans de l’état-major général russe ? Non, il avait été inventé il y a une décennie (ou même plus) au Pentagone.
Ou encore : ce n’est pas Moscou qui a poussé à la hâte les Kurdes d’occuper les régions pétrolifères de la Syrie, afin qu’ils ne tombent pas sous le contrôle d’al-Assad et des force aéro-spaciales russes ? Et elle aurait dit : « Allez, lees gars, s’en accaparez, pour que les Américains puissent y pomper illégalement du pétrole », n’est-ce pas ?
Comme le conseillé par la publicité sage : « Parfois, il est préférable de mâcher que parler. »
Les représentants russes ont parlé clairement et d’une manière directe groupements kurdes «Passez à la subordination du commandement central de l’armée syrienne», «Retournez à la compétence juridique du gouvernement de la Syrie».
Mais les Kurdes ont écouté les promesses américaines et en criant: «Etats-Unis sont avec nous !» Les Russes ont haussé les épaules et ont continué à s’occuper de leurs affaires. Et ici, c’est le bon vieux Erdogan qui est venu sur la scène.
Lorsque les chars turcs ont commencé à tirer sur Afrin, que faisaient les Américains? Ceux-là ont déclaré : «Mais personne n’avait rien promis aux Kurdes» Alors, qui a trompé les Kurdes?
Pour la Russie, la situation se développe le mieux possible. Dans le cadre de l’opération « Rameau d’olivier », des avions turcs bombardent terrain d’aviation américaine Minnig que les Etats-Unis avaient utilisé pour transporter des armes aux Kurdes.
Lorsque les deux pays de l’OTAN se bombardent, que devrait faire la Russie ? Elle doit s’asseoir dans une chaise longue, des lunettes stéréo sur le nez, manger du pop-corn et dire : «Vous ne vous battrez pas, mais je ne suis pas un des instigateurs». En, peut-être la même Russie aurait àdire aux Kurdes : « Gras, vous n’avez pas choisi une bonne compagnie ».
Rédaction russe du « Front d’information«