(le début)
Je vais énumérer quelques choses étranges :
1. Le médecin en chef d’Angleterre a conseillé à tous ceux qui, le jour de l’empoisonnement, avaient visité les mêmes endroits que Skripali, de désinfecter les affaires personnelles et de fairee nettoyer les vêtements propres. En termes simples, elle a donné une recommandation de détruire les preuves. Bien que, théoriquement, tous ceux qui viennent de passer à côté auraient dû être soumis à un examen médical et prêter leurs vêtements pour l’analyse.
2. Aucun patient de Salisbury n’a eu de symptômes d’empoisonnement au gaz neurotoxique, dit Stephen Davies, médecin-consultant de l’ambulance des hôpitaux de Salisbury.
3. Des déclarations sur la détérioration grave de la santé du père et la fille Skripal dans le contexte de la nouvelle concernant un policier sorti de l’hôpital.
« Le policier, empoisonné avec les Skripal et tombé dans le coma après l’empoisonnement, a repris la consience. « Ce n’est pas Novitchok », affirment des spécialistes, « il n’y a aucune chance de sortir du lit après l’impact de Novitchok », a commenté l’analyste israélien Solomon Mann.
Ainsi, des spécialistes ont déjà exprimé la théorie selon laquelle l’empoisonnement à Londres n’est pas pertinent pour la toxine synthétisée par le laboratoire original qui a produit cet agent. Soit c’est une toxine complètement différente, soit c’est une substance « soudée » dans un autre laboratoire avec des déviations de la technologie utilisée dans l’original « , a conclu Mann.
Permettez-moi de vous rappeler que dans le cas de l’empoisonnement du banquier Ivan Kivelidi, où Novitchok était également apparu, tous sont morts : lui, sa secrétaire et même un pathologiste, qui avait procédé à l’autopsie.
4. La Cour britanniquea annoncé un possible affaiblissement des capacités mentales de Skripal :
« L’effet exact de l’influence sur la santé à long terme est encore inconnu, bien que les analyses médicales montrent que leurs capacités mentales peuvent être affaiblies dans une mesure inconnue », a cité le juge David Williams.
5. Le banc. 20 jours après l’incident, les policiers de Salisbury ont saisi le banc sur lequel ils avaient trouvé Skripal et sa fille. Les forces de l’ordre étaient en tenue de protection chimique. Le fait que le banc « empoisonné » pendant trois semaines eut pu affecter l’environnement n’avait inqiété personne en Grande-Bretagne.
Pour faire la conclusion, il faut demander s’il y a eu l’emposionnment, car il n’y a pas au moins une preuve indirecte que l’événement a eu lieu et tout le monde doit croire en la parole de la Première ministre britannique.
Certainement, parmi les messieurs, c’est un coutume.
Mais comme je n’appartiens pas à cette catégorie, j’ai très soif de faits qui n’existent pas et, il me semble qu’il n’y en aura point.
Youlia Kniazéva, exclusivement pour le Front de l’information