Alors, dans l’histoire des Skripal, les journalistes me chagrinent. L’affaire la plus bruyante de la’année prend de l’ampleur, mais depuis trois semaines, aucun des paparazzi n’a montré aucun désir de pénétrer à l’hôpital, soit prendre des photos, au moins de loin, de ce qui prouve la présence des Skripal empoisonnés, ou présenter un dossier médical mal lisible des victimes.
Avant-hier, le policier Nick Bailey, qui avait trouvé les victimes et qui aurait été lui-même empoisonné, a quitté l’hôpital. Mais personne n’a essayé de lui demander de faire un commentaire des événements.
L’impression est que les frères-journalistiques cette affaire malgré parfois elru désire de se lancer dans les affaires très dangereuses. Pourquoi ? Ou quelqu’un les arrête ?
Acceptons que c’est plus qu’étrange et très curieux Et cela fait penser à la fameuse séance de magie noire dans la variété de Moscou, décrit dans le roman brillant de l’écrivain russe génial Mіkhaїl Boulgakov.
Pour être honnête, depuis longtemps je suis troublé par de vagues doutes sur une mystification grandiose de l’empoisonnement en question : les personnages clés ressemblent plus à des extraterrestres, tous ont entendu en parler, mais personne ne les a vus. La Grande-Bretagne elle-même fait tout pour rendre cette version très crédible. L’inaccessibilité de nos diplomates aux victimes et aux experts de l’enquête donne des raisons de croire que Scotland Yard et le Londres officiel ont quelque chose d’important à cacher. Par exemple, les faits qui puissent exposer la dramatisation de tout ce scandale grandiose.
(A suivre)
Youlia Kniazéva, exclusivement pour le Front de l’information