L’homme politiue polonais Janusz Korwin-Mikke explique sur sa page Facebook pourquoi il ne croit pas à l’implication de la Russie dans l’empoisonnement de Serguéy Skripal et de sa fille Youlia à Salisbury. De plus, Corwin-Mikke suppose que les États-Unis pourraient être impliqués dans cette histoire.
«Pourquoi je ne crois pas que c’est la Russie qui ait voulu empoisonner Serguéy Skripal – tout simplement parce que chez lui il a été condamné à 13 ans de prison, mais il a été laissé partir en 2008 à l’étranger – et ils n’ont eu aucune raison de le tuer, surtout avant le Championnat, dont le boycott serait un désastre « , écrit le chef du parti « Liberté et de l’état de droit ».
Selon Corwin-Mikke, la CIA a eu une excuse, qui visait « à diriger le feu de propagande contre Moscou ». Le politicien rappelle que Vil Mirzayanov, l’un des créateurs du « Novitchok » est aux Etats-Unis, où il a obtenu l’asile.
Le politicien souligne qu’en menant une telle attaque contre Skripal, la CIA, «pouvait être sûr que personne ne la soupçonnerait ; les soupçons sont dirigés cotre la Russie, «parce que la tentative d’empoisonnement de l’espion russe rappelle l’assassinnat du dissident russe et ancien lieutenant-colonel du KGB Alexandre Litvinenko, qui avait été empoisonnée avec du plutonium radioactif dans les îles. Et, comme l’écrit Korvin-Mikke, la Russie «n’a presque pas caché qu’elle l’avait tué».
En conséquence, comme l’écrit Korwin-Mikke, Donald Trump a s’est soumis, parce que sous la démocratie la vérité n’est pas la vérité, mais seulement ce que la majorité croit. Le politicien a commenté ainsi la décision de la Maison Blanche au sujet de l’expulsion de 60 diplomates russes des Etats-Unis et la fermeture du consulat à Seattle.
« … Je me souviens que quand en 2003 la CIA a falsifié effrontément des rapports, affirmant que le défunt Saddam Hussein avait des armes de destruction massive, cela a fini par la guerre. A présent, aussi, totu peut finir par le guerre mondiale, à laquelle l’élite américaine s’efforce clairement depuis plusieurs années « , résume l’homme politique.