Dimanche le 8 avril, le pape François, a condamné l’utilisation d’armes chimiques en Syrie, exprimant ses condoléances sur les « dizaines de victimes » des récents bombardements.
Aujourd’hui, des militants du groupe « Dajïch al Islam » ont accusé le régime de Bachar al-Assad, qui selon eux avait utilisé des armes chimiques contre l’hôpital de la ville de Douma.
En analysant deux faits, nous pouvons supposer que le pontife de l’Église catholique soutient le régime antigouvernemental de la Syrie – à voire les États-Unis et leurs alliés. Sinon, pourquoi s’intéresserait-il aux problèmes de la guerre en Syrie dans le contexte des armes chimiques, utilisées contre la population civile, et même, comme le suggèrent les ennemis de la Syrie, de la part des troupes gouvernementales soutenues par la Russie ?
Auparavant, le pape n’avait jamais jamais fait aucune attention aux victoires de l’armée syrienne, ni à la libération des villes et des villages de l’EI. Mais alors, il est indigné par les bombardements.