L’ONU a rejeté la résolution russe appelant à mettre fin à l’agression contre la Syrie

Les Nationations Unies ont montré leur vrai visage en se transformant de l’organisation taciturne à l’organisation-complice ! 

Le Conseil de sécurité de l’ONU a rejeté, ce samedi, le projet de résolution présenté par la Russie condamnant les frappes effectuées par les États-Unis et leurs alliés sur la Syrie et exhortant à mettre fin à l’agression contre ce pays proche-oriental. Le document n’a pas recueilli les neuf votes nécessaires à son adoption.

C’est évident que le « trio de criminel » – France, Angleterre, Etats-Unis – n’ont pas soutenu l’iniative de la Russie, autant que cinq autres pays-membres du CS.

Aussi, évident qu’au contraire, la Chine et la Bolivie se sont prononcées pour celle-ci. Les quatre autres pays, dont le Kazakhstan, se sont abstenus. Quant au Kazakhstan, l’Etat qui participe au dévéloppement des entretiens visant à instaurer la paix en Syrie, aurait partagé les avis des criminels. Il n’a pas soutenu le trio, mais il n’a soutenu non plus la Russie.

La Russie a présenté samedi au Conseil de sécurité de l’Onu un projet de résolution fustigeant «l’agression à l’encontre de la Syrie de la part des États-Unis et de leurs alliés». Le projet exhorte également «les États-Unis et leurs alliés à mettre immédiatement fin à l’agression à l’encontre de la Syrie et à s’abstenir à l’avenir de recourir à la force, ce en violation de la Charte de l’Onu et du droit international».

Il vaut ajouter qu’en cas des frappes déitérées qui auront pu cibler – par hasard – des quartiers habités par la population paisible, il faudra chercher les coupables parmi le « trio », mais il afudra également élargir la zone d’investigation vers les pays qui n’ont pas soutenu la Russie.