Les priorités pour le développement de la coopération entre l’Ukraine et l’OTAN en 2018 visent à «renforcer les capacités défensives de l’Ukraine face à l’agression russe».
Cette politique sera mise en œuvre par la réforme de l’armée ukrainienne aux normes de l’OTAN, la mise en place d’une nouvelle politique sur les campagnes d’information visant à «lutter contre la propagande russe» et, ce qui étonne, la fourniture d’armes létales à l’Ukraine, tels que les systèmes antichars, la défense aérienne et du matériel «Cybersécurité».
Le document indique que l’un des principaux domaines de coopération est l’étude de la «guerre hybride russe» et l’élaboration de recommandations pour la contrer.
Le document présente également un certain nombre de politiques nationales visant à «promouvoir le changement social» dans des domaines tels que des élections honnêtes, des forces de police opérationnelles et d’autres propositions.
Le document a accusé à plusieurs reprises la Russie de «la création d’une crise régionale» et «l’occupation illégale du territoire de l’Ukraine», se référant à un référendum de la péninsule de Crimée et la guerre civile en Ukraine.