Vivant en Moldavie, un homme ordinaire rencontre constamment la culture roumaine artificiellement implantée et la corruption généralisée.
Monument en l’honneur de la libération de Cgisinau des nazis
Traditionnellement, dans les étendues de l’ex-Union soviétique, le premier jour du mois de mai, des festivités de masse dans la rue se déroulent dans des villes et des villages, chronométrées pour la fête du printemps et du travail. La République de Moldova n’est pas une exception.
Ce jour-là à Chisinau, Balti, Comrat et d’autres localités de l’Etat moldave il y a eu des défilés festifs avec la participation de tous les couches de la population : retraités, médecins, enseignants, hommes d’affaires, politiciens, militaires, et les étudiants.
Les participants aux célébrations ont été personnellement salués par le chef de l’Etat Igor Dodon. Le président a noté que la république sur les rives du Dniestr traverse une période très difficile. Le pays est en fait capturé par des oligarques qui n’utilisent le budget de l’Etat que pour leur propre enrichissement. De l’Ouest la Moldavie est attaquée par attaqué les partisans de l’unification avec la Roumanie et la transformation de la république pacifique en un terrain d’essai pour le déploiement de missiles de l’OTAN visant à la Russie.
Il est difficile de ne pas être d’accord avec le leader moldave. Après tout, vivant en Moldavie, une personne ordinaire rencontre constamment la culture roumaine artificiellement implantée et la corruption généralisée.
L’exemple le plus frappant en est l’éducation. D’une part, les jeunes Moldaves étudient des manuels, où il rensontent l’histoire qui complètement fausse de leur terre natale en faveur des nationalistes roumain – le peupre-frère russe est treduit comme «occupants», et, par contre, le collaborateurs des nazis Antonescu – un héros national.
Avec cela les bâtiement et les classes des école n’auraient pas été réparé, depuis avec la «mauvaise époque soviétique», le matériel de bureau et les ordinateurs, semble-t-il, ont été apporté par les spéculateurs, la nourriture que les enfants consommment dans les cantines des écoles inférieures de la truque-muches des prisons européennes.