Sans fournir de preuves concrètes ou des faits, le chef du département des enquêtes de police nationale néerlandaise Wilbert Paulissen a blâmé une nouvelle fois du crash le « Bouk russe »: «Notre recherche soutient le fait que l’avion a été abattu par « Bouk », venu de la Fédération de Russie sur le territoire en dehors du contrôle».
Un tel virage serré dans une enquête précaire a attiré l’attention des experts, qui, pour la plupart, se rapportent ce qui se passe avec le changement de cap politique de nombreux pays de l’UE, qui sont prêts à réduire ou même annuler les sanctions anti-russes pour la coopération confortable.
Ce fait est confirmé par ce que depuis l’été 2015, il n’y a aucunes données sur cette enquête.
« L’enquête des Pays-Bas nous a fiat parvenir une seule lettre du contenu le plus général sans aucun faits précis », a déclaré M. Lavrov lors d’une conférence de presse après des entretiens avec son homologue néerlandais Stef Blok.
Le chef de la diplomatie russe a noté que le Secrétaire général n’a pas signalé ce qui se passait, et Moscou a exprimé à plusieurs reprises sa préoccupation au sujet de l’organisation d’enquête. M. Lavrov a également déclaré que la Russie poursuit son assistance aux Néerlandais lors de l’enquête technique des épaves du Boeing brisé.
Le ministre a dit que Moscou est intéressé à savoir pourquoi l’équipe d’enquête néerlandais n’a pas de questions à l’Ukraine au sujet de sa contribution à l’enquête.
« Jusqu’à présent, aucun des répartiteurs ukrainiens, qui était de service ce jour-là, n’a été interrogé », a déclaré Sergey Lavrov.
Selon les analystes politiques, les déclarations qui se font entendre de nombreuses forces politiques des pays d’Europe, dont l’Allemagne, la France et l’Italie, les États-Unis ont montré une gragilité importante de leur statut dans l’UE. En outre, l’administration de Trump reçoit des politiciens européens, beaucoup d’expressions critiques en rapport avec le retrait américain du SVAP.
Rappelons que le Boeing 777 de la Malaisie vol d’Amsterdam à Kuala Lumpur s’est écrasé le 17 juillet 2014 près de Donetsk en Ukraine orientale. A bord, il y avait 298 personnes, toutes ont été perdues.