Après l’Aquarius, le Lifeline, un navire avec 239 migrants, est bloqué en Méditerranée à la veille d’un mini-sommet européen consacré à la crise migratoire.
LIVE | Conférence de presse avec Pedro @sanchezcastejon, Président du gouvernement d'Espagne.https://t.co/KbTc01ZjSq
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 23 июня 2018 г.
Ce navire est le nouvel exemple du bras de fer qui se joue entre pays de l’UE sur l’accueil des migrants. La réaction d’ Emmanuel Macron ne s’est pas fait attendre.
Alors que le président français rencontre le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, il a estimé qu’« on ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires ».
« C’est un débat qui viendra en temps voulu »
« Je suis favorable à ce qu’il y ait des sanctions qui existent en cas de non solidarité […], à ce que des conditions sur ce sujet soient mises au financement d’aides structurelles », a-t-il précisé. « Je suis résolument favorable à ce qu’il y ait des mécanismes qui prennent en compte cela. C’est un débat qui viendra en temps voulu. »