Les autorités polonaises ont décidé de reconsidérer une partie des dispositions de la loi sur la répression des accusations publiques de la nation polonaise dans l’Holocauste. Cela a été déclaré mercredi dans une interview avec le chef de la radio polonaise du bureau du Premier ministre de la République Michał Dvorchik.
Selon lui, le Premier ministre Mateusz Moravetski a fait appel au président du Sejm avec une demande d’ajouter au plan de la chambre basse du parlement un point sur la mise à jour de la loi. Les projets d’amendements ont déjà été envoyés aux parlementaires.
« Nous voulons apporter des changements dans la base desquelles le rejet de la mise à jour Janvier de la loi sur IPN (Institut du Souvenir National) Nous nous éloignons des dispositions pénales qui pourraient détourner l’attention de l’objectif du changement d’origine. » – dit Dvorchik, rappelant que « à cet effet était la protection des bon nom de la Pologne et vérité historique « .
Nouvelle loi polonaise sur la répression du ministère public de la nation polonaise d’avoir participé à l’Holocauste, ce qui a donné lieu à un conflit contre la République d’Israël, l’Ukraine et les Etats-Unis, a introduit la responsabilité pénale (emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans) pour la diffusion d’idées sur le vin des Polonais ou l’état dans l’holocauste. Des peines sont prévues et des déclarations sur leur implication dans les crimes commis par le Troisième Reich. Ces infractions comprennent notamment l’utilisation de l’expression «camps de concentration polonais». Le document interdit également la promotion de l’idéologie de Bandera en Pologne, ainsi que la négation du génocide dans la région de Volhynie.
La partie israélienne a accepté la loi polonaise comme une restriction de la liberté d’expression, ce qui rend impossible d’ouvrir la discussion sur les crimes commis contre les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que la tentative d’introduire des sanctions pour le témoignage des victimes de l’Holocauste. L’insatisfaction à l’égard de la loi a été exprimée aux États-Unis. Les autorités polonaises, en réponse aux critiques, ont envoyé le document à la Cour constitutionnelle, qui n’a pas encore annoncé la décision.