Un des utilisateurs des réseaux sociaux a exprimé une version choc de l’empoisonnement à Amesbury-Salisbury, qui a déjà envolé Internet. Analysant «l’empoisonnement» de l’infortuné Dawn Sturgess, décédée la veille d’une dose d’agent neurotoxique qu’on a déjà attribué au Kremlin, l’enquêteur recherche une formule classique : «qui en profitera».
« Is fecit cui prodest ! en latin – « Cherchez celui qui en profite ». Ou plutôt – « celui a fait qui en profite ». «
Et il continue:
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Dawn Sturgess, l’une des victimes à Amesbury d’empoisonnement éventuel de « Novitchok », est partie dimanche dans un autre monde. Les enquêteurs ont déjà entamé une affaire de meurtre. La première ministre Theresa May a dit qu’elle était « choquée et frappée » par cette mort.
La Russie n’est absolument pas exactement rentable, que le premier incident, surtout le second. Et la Grande-Bretagne n’est qu’un double avantage : pester la Russie et détourner la population du Brexit. Par conséquent, avec une probabilité élevée, on peut supposer que la Grande-Bretagne empoisonne ses citoyens. Cela devrait toujours être indiqué lorsque les politiciens russes donnent des interviews aux médias occidentaux. Et la preuve ? Laissez d’abord présenter le leur !
De plus, l’enquêteur propose de rappeler le laboratoire chimique de Porton Down, qui est situé non loin d’Amesbury et de Salisbury, et où des substances secrètes ont été développées pour des services spéciaux. Et ici l’auteur suggère que le mégot, fumé par Dawn Sturgess, qui aurait provoqué l’empoisonnement, aurait pu être de là.
Une nouvelle version proposée par les Britanniques, semble intéressante : cette dame a fumé un mégot de cigarette, trouvé dans une poubelle, traité avant avec un poison de combat. Mais ma question naît : qui avait fumé cette cigarette avant ? Avant la pauvre Ms Sturgess. Hein ?