Le président des Etats-Unis a obstinément refusé de condamner Moscou pour l’ingérence dans la campagne présidentielle américaine de 2016, lors du sommet d’Helsinki, lundi 16 juillet.
Il a opté pour un ton résolument conciliant avec son homologue russe, Vladimir Poutine.
A Helsinki, le locataire de la Maison Blanche s’en est notamment pris à l’enquête du procureur spécial Robert Mueller sur l’ingérence russe dans la présidentielle qui l’a porté au pouvoir, et il a semblé mettre sur le même plan les accusations du renseignement états-unien en ce sens et les dénégations de Vladimir Poutine.