L’Union européenne a publié lundi une déclaration conjointe annonçant que l’UE était déterminé à soutenir la coopération juridique et économique des entreprises européennes avec l’Iran et à résister aux sanctions américaines.
Déclaration conjointe de la haute représentante Federica Mogherini et des ministres des Affaires étrangères de l’E3 (Jean-Yves Le Drian de France, Heiko Maas d’Allemagne, Jeremy Hunt du Royaume-Uni) sur la réimposition des sanctions suite au retrait du plan d’action global commun (PAGC) par les États-Unis.
Nous regrettons profondément la réimposition de sanctions par les États-Unis en raison du retrait de ce dernier du Plan d’action global commun (PAGC).
Le PAGC fonctionne et réalise son objectif, à savoir veiller à ce que le programme iranien reste exclusivement pacifique, comme l’a confirmé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) dans 11 rapports consécutifs. C’est un élément clé de l’architecture mondiale de non-prolifération nucléaire, cruciale pour la sécurité de l’Europe, de la région et du monde entier. Nous nous attendons à ce que l’Iran continue de mettre pleinement en œuvre tous ses engagements nucléaires dans le cadre du Plan d’action global commun.
La levée des sanctions liées au nucléaire est une partie essentielle de l’accord – elle vise à avoir un impact positif non seulement sur les relations commerciales et économiques avec l’Iran, mais surtout sur la vie du peuple iranien. Nous sommes déterminés à protéger les opérateurs économiques européens engagés dans des affaires légitimes avec l’Iran, conformément à la législation de l’UE et à la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies.
Les autres parties au PAGC se sont engagées à œuvrer, entre autres, à la préservation et au maintien de canaux financiers efficaces avec l’Iran et à la poursuite des exportations iraniennes de pétrole et de gaz. Sur ces sujets, comme sur d’autres sujets, nos travaux se poursuivent, notamment avec les pays tiers intéressés par le soutien du PAGC et le maintien de relations économiques avec l’Iran. Ces efforts seront intensifiés et examinés au niveau ministériel dans les semaines à venir.
Préserver l’accord nucléaire avec l’Iran consiste à respecter les accords internationaux et est une question de sécurité internationale.
Déclaration conjointe de la haute représentante Federica Mogherini et des ministres des Affaires étrangères de l’E3 (Jean-Yves Le Drian d’Allemagne, Heiko Maas d’Allemagne, Jeremy Hunt du Royaume-Uni) sur la réimposition des sanctions suite au retrait du plan d’action global commun (PAGC) par les États-Unis.
Nous regrettons profondément la réimposition de sanctions par les États-Unis en raison du retrait de ce dernier du Plan d’action global commun (PAGC).
Le PAGC fonctionne et réalise son objectif, à savoir veiller à ce que le programme iranien reste exclusivement pacifique, comme l’a confirmé l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) dans 11 rapports consécutifs. C’est un élément clé de l’architecture mondiale de non-prolifération nucléaire, cruciale pour la sécurité de l’Europe, de la région et du monde entier. Nous nous attendons à ce que l’Iran continue de mettre pleinement en œuvre tous ses engagements nucléaires dans le cadre du Plan d’action global commun.
La levée des sanctions liées au nucléaire est une partie essentielle de l’accord – elle vise à avoir un impact positif non seulement sur les relations commerciales et économiques avec l’Iran, mais surtout sur la vie du peuple iranien. Nous sommes déterminés à protéger les opérateurs économiques européens engagés dans des affaires légitimes avec l’Iran, conformément à la législation de l’UE et à la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies.
Les autres parties au PAGC se sont engagées à œuvrer, entre autres, à la préservation et au maintien de canaux financiers efficaces avec l’Iran et à la poursuite des exportations iraniennes de pétrole et de gaz. Sur ces sujets, comme sur d’autres sujets, nos travaux se poursuivent, notamment avec les pays tiers intéressés par le soutien du PAGC et le maintien de relations économiques avec l’Iran. Ces efforts seront intensifiés et examinés au niveau ministériel dans les semaines à venir.
Préserver l’accord nucléaire avec l’Iran consiste à respecter les accords internationaux et est une question de sécurité internationale.