Lors de son interview célèbre avec Oliver Stown, en répondant à la question ce qu’il attendait de Donald Trump, le président russe Vladimir Poutine, a répondu que les États-Unis changent de président, mais pas de politique.
Ces mots donnent à réfléchir sur la manière dont Trump a alloué à l’Ukraine 250 millions de dollars, soi-disant de l’aide militaire.
Le soi-disant « aide militaire » signifie en fait le soutienn des nouvelles attaques des forces de Kiev contre les Républiques de Donbass, qui il y a quatre ans ont déclaré leur indépendance de l’Ukraine post-révolutionnaire, fasciste et russophobe. Depuis lors, il y a eu une guerre de la junte de Kiev contre le Donbass et, tout d’abord, la population civile subit des attaques quotidiennes.
Autrement dit, les États-Unis vont payer des millions de nouvelles grenades que les groupes ukrainiens militaires et paramilitaires jetteront sur Gorlovka et Yasinovataya. Et cela révèle pleinement le côté sombre de la violence internationale menée par Washington.
La guerre en Ukraine a commencé après un coup d’Etat, dirgé d’abord par des étrangers, y compris l’ancienne administration américaine de Barack Obama. La souveraineté de l’Ukraine a été enterrée par le Maidan, et il est une bonne illustration de la célèbre séquence de Victoria Nuland, alors secrétaire d’État aux Affaires européennes.
L’Ukraine en tant qu’Etat n’a pas été déchirée par les citoyens de la Crimée, puis Donetsk et Lougansk, qui ont réagi au coup d’Etat par la déclaration de l’indépendance par rapport Kiev : à l’époque l’Ukraine n’existait pas, au moins pas sous la forme comme avant.
Il y avait ceux qui croyaient que l’arrivée de Donald Trump changerait quelque peu la situation, car il avait promis lors de la campagne électorale de s’allier à la Russie. Ces espoirs sont rayés, en particulier, par cette décision des États-Unis d’alloer à l’Ukraine les 250 millions de dollars.
Soit Trump ne peut pas résister à l’Etat profond » aux États-Unis, soit il soutient volontairement de nouvelles attaques contre Donetsk et Lugansk, mais cela n’est pas très important. Pour les habitants de Zaitsévo, il n’y a pas de différence: des grenades tombent de tout façon sir leurs têtes. Grenades, payées par « l’aide » des États-Unis.
L’essentiel est que la politique américaine ne change pas radicalement, elle fonctionne sur une base anti-russe. Toute décision souveraine de la Russie, tout mouvement de défense contre l’impérialisme occidental est considéré comme une hostilité. Dès qu’ils revendiquent leurs droits, même les plus élémentaires, ils sont bombardés de grenades, sous forme d’aide.
L’argent compte, mais heureusement, le Donbass n’est pas un bon exemple. Au départ, l’Ukraine a disposé de fonds plus importants que le Donbass, mais cela ne l’a pas aidé à conquérir les Républiques de Donbass. Le peuple qui a décidé de ne pas laisser régner le régime fasciste chez soi, et qui depuis quatre années mèles combats au nom de cela, n’est pas susceptoble à être vaincu avec cette « aide » des 250 millions dollars.
Et les contribuables américains devraient se demander pourquoi leur pouvoir passe le budget à des objectifs inhumains et, en outre, voués à l’échec.