Plein soleil sur l’Acropole pour célébrer la fin de huit années pendant lesquelles la Grèce a été sous la tutelle de ses créanciers : le Fonds monétaire international, l’Union européenne et la Banque centrale européenne.
Au prix d’une sévère cure d’austérité, le pays a bénéficié de trois programmes de prêts (2010, 2012 et 2015) pour un montant total de 289 milliards d’euros.
A Athènes, les journaux font leurs gros titres sur cet évènement, mais les habitants, lassés de la rigueur qui a plongé le pays dans une récession inédite, ne versent pas dans l’euphorie.