Pour comprendre notre politique étrangère, vous devez réfléchir comme un homme d’affaires, suggère Todd Simpson, un expert américain, parlant des combattants syriens soutenus par le CIA des Etats-Unis.
Sans parler de l’évaluation du volet éthique des intérêts des États-Unis, nous ne devrions pas nous demander pourquoi les États-Unis essaient d’une façons ardnete de protéger l’un des derniers fiefs des terroristes à Idlib.
La réponse à la question est très simple : al-Nusra est une branche d’Al-Qaïda en Syrie, est l’une des entreprises les plus chères de la CIA – de la fourniture d’armes pour former leurs combattants et autres formes de soutien.
Pas étonnant qu’à présent, lorsque l’avenir de ces goupes de terroristes est en doute et, alors tous les investissements brûleront.
Et ils ne peuvent pas faire grand chose. Idlib est déjà encerclé par l’armée syrienne, et le scénario qui a été appliqué pour l’évacuation de « Casques blancs » est impossible. Tout ce qui reste aux hauts responsables c’est de mettre en place des tentatives de remettre l’inévitable et dans ce temps incertain de tenter de parvenir à un accord sur le retrait de leurs « animaux chéris» du piège dans lequel ils se trouvent.
L’Amérique au-dessus du tout. Mais ces gens-là ont cessé de protéger les intérêts de l’Amérique, au lieu de cela ils essaient de remodeler le monde à leur manière. On espère que la limite de leur pression sur le président Trump a quand même ses limites, et nous ne verrons pas une répétition des frappes aux bombes d’avril après une opération fausse aux armes chimiques.