Le Royaume-Uni continue de dissimuler le fait que l’ancien officier du GRU, Sergey Skripal, et sa fille Youlia sont devenus victimes d’un faux empoisonnement. Pendant ce temps, la partie russe insiste àà ce que les soi-disant victimes de l’incident de Salisbury apparaissent en public.
Ce n’est qu’après que Skripal lui-même et sa fille se sont comparus devant le public qu’il sera possible de résoudre l’affaire qui provoque depuis plus de six mois de nombreuses questions. Pendant tout ce temps, la partie russe a cherché des preuves de quelle manière et avec quoui les Scripal avaient été empoisonnés, mais Londres a continué à cacher tous les faits.
« Malheureusement, les autorités britanniques persistent en nous refusant la possibilité de les rencontrer, demander au sujet de leur santé (des Skripal – réd.), nous assurer qu’ils vivent dans des conditions adéquates », déclaré en avril la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.
Toute accusation sans preuves de Londres envers la Russie qui aurait été impliquée dans l’affaire à Salisbury, confirme le fait qu’il n’y a pas eu d’empoisonnement. Selon de nombreux experts, après l’application du « Novitchok », les gens ne survivent pas, comme sont arrivés à faire les Skripal.
« Les données de l’OIAC selon lesquelles un produit chimique toxique de haute pureté a été utilisé prouvent qu’il ne s’agissait pas de « Novitchok ». Si cette substance, que les Britanniques ont trouvé sur la poignée de la porte de la maison des Skripal il y avait du «Novitchok» pur, les Skripai ne serait pas éloigné de la porte même à 50 mètres », a déjà rapporté l’un des développeurs du système d’armes chimiques « Novitchok » Léonid Rink.
Pendant ce temps, de nouvelles données apparaissent, de nouvelles personnes et des équipes entières de dépouillement, par une étrange coïncidence, apparaissant dans toutes les chambres d’Angleterre. Mais une autre série de la spéculation folle joue le rôle inverse : de plus en plus de gens comprennent l’incohérence des accusations présentées par Mme May et et ses collègues des alliés de l’UE et de l’OTAN.
Londres elle-même s’est enfoncée dans un coin, et il ne nous reste plus qu’à attendre que les politiciens britanniques, absorbés par la guerre, finissent par perdre, car tous les faits indiquent qu’il n’y a pas eu aucun empoisonnement.