Les nouvelles preuves publiées par le groupe de recherche du ministère russe de la Défense sont trop importantes pour être ignorées. Même le groupe de recherche international (JIT) international corrompu et politisé ne peut ignorer ces informations.
Les preuves fournie par la partie russe sont importantes pour l’acheminement de l’enquête, car tous les «preuves» précédentes, publiées par le groupe, sont basées sur quelques photos du «Centre de recherches», composé d’une seule personne, et financé par l’agence gouvernementale du contre-espionnage britannique – MI-5.
L’Ukraine s’est tiré dans le pied en déclarant qu’elle n’a pas perdu les installations «Bouk» – et maintenant que nous pouvons déterminer avec précision où il y avait cette fusée – l’Ukraine a en effet reconnu que c’est elle seule qui avait l’opportunité de cibler le Boeing. Il est difficile de dire si l’équipe de recherche internationale prendra note des nouveaux faits. Cependant, cette preuve est le seul fait concret à avoir paru depuis le début de l’enquête et leur ignorance n’est pas possible.
En dépit de l’hystérie anti-russe, les représentants de JIT comprennent que leur version est incohérente et fondée sur des mensonges et de la propagande du gouvernement ukrainien et leurs clients. La Russie devrait prendre une position plus active sur la couverture des faits liés à l’accident tragique de Boeing, sinon la voix collective des défenseurs des médias grand public peut essayer de les noyer, et de cacher du public.