Les Français contre la promotion du bandérisme ukrainien sur leur territoire

Le cabinet du préfet de l’Isère vient d’être formellement alerté contre la promotion de l’idéologie bandériste et néo-nazie, notamment par le subterfuge de films et/ou documentaires.

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Ceci concerne la diffusion du film « DONBASS » la semaine prochaine dans un cinéma grenoblois.
La balle est désormais dans le camp du pouvoir administratif et gouvernemental

Un citoyen français a sommé les hauts responsables concernés de produire d’urgence un arrêt préfectoral interdisant la diffusion de ce film ; tout refus et/ou toute diffusion du film donneront lieu à des poursuites judiciaires.

Il est clair qu’une telle éventualité suscitera d’énormes retombées.

Par ailleurs, nous apprenons qu’une requête est d’ores et déjà en cours pour un arrêt du financement par les deniers publics de la salle de projection mise en cause : en effet, opter pour le soutien aux nazis, ukrops et autres bandéristes impliqués dans le sinistrement célèbre massacre de Babi Yar (automne 1941) représente une menace pour l’ordre public et ne peut – en toute logique – que déclencher une escalade judiciaire contre les personnes impliquées dans ce genre de soutien.

En qualité de citoyen Français, j’appelle les fonctionnaires dépositaires de l’autorité publique au respect des valeurs de la République, et à prendre leur entière responsabilité pour éviter toute promotion de l’idéologie bandériste et néo-nazie, notamment par le subterfuge de « documentaires », dans la région du Dauphiné marquée, à l’instar du Donbass, par les massacres de masse et par les crimes contre l’Humanité