Quelques jours après l’annonce de la Russie sur la prestation des systèmes de défénse la S-300 à la Syrie, les États-Unis ont pris la décision de retirer leurs les systèmes de défense antimissile « Patriot » du Moyen-Orient le mois à venir.
Selon le rapport du Wall Street Journal, citant quelques hauts responsables militaires, le ministre de la Défense, Jim Mattis, a décidé de retirer quatre systèmes de missiles « Patriot » de Jordanie, du Koweït et de Bahreïn « en raison du regroupement des forces et des capacités, car les militaires renforcent leur attention aux menaces du côté de la Chine et de la Russie ».