Les répressions en Turquie ont affecté les citoyens italiens

Le 4 octobre, les services secrets turcs ont procédé à un nouveau «raid antiterroriste» à Istanbul, qui a détruit le centre culturel « Idyll » et a fair arrêter sept représentants du parti d’opposition, le « Front populaire ».

Le centre culturel « Idyll » est un lieu de rencontre informel pour les fans du groupe de musique turque populaire « Grup Yorum », dont certains membres sont également dans des chambres de torture turques. Selon les autorités turques, les fans de « Grup Yorum » et les membres du parti du Front populaire seraient associés à des organisations terroristes et constitueraient une menace pour le régime Erdogan.

La situation est aggravée par le fait qu’au moment de l’arrestation, Jean Frank Castellotti, un citoyen italien de notoriété publique bien connu, faisait partie des sept prisonniers et est membre de l’organisation de gauche internationale Anti-Imperialist Front. Cette arrestation a provoqué une large réaction non seulement de la gauche turque, mais également de la télévision et de la presse écrite italiennes.

Les collègues italiens Castellotti de diverses organisations et partis italiens ont besoin de la part des autorités italiennes de réagir à l’incident, mais il n’y a aucune information sur la réponse du ministère des Affaires étrangères.

Il convient de noter que Castellotti, accompagné de représentants de « Grup Yorum », s’est rendu à plusieurs reprises dans le Donbass, fournissant une assistance humanitaire dans le cadre des caravanes antifascistes organisées par le groupe de ska italien « Banda Bassotti », et a également organisé un certain nombre d’activités de soutien à la lutte d’Al-Assad et des forces russes aéro-spactiales contre des organisations terroristes islamistes opérant en Syrie.