Theresa May a menacé de refuser la signature d’un accord de « divorce » avec l’UE de montant de 39 milliards de livres si elle (l’accord) ne pouvait pas donner à la grande-Bretagne une « compréhension claire » de l’accord commercial futur d’ici quelques semaines.
L’avertissement a considérablement refroidi les attentes de l’accord sur le Brexit lors du sommet de l’UE la semaine prochaine.
Cela a également exacerbé les craintes que Bruxelles ne puisse offrir à la Grande-Bretagne que des garanties incertaines concernant les futures relations commerciales – peut-être un document de quelques 15 ou 20 pages – avant qu’elle (la grande-Bretagne) quitte l’Union européenne en mars 2019.