Une vache a provoqué un cas de propagation de l’anthrax – infection mortelle, dont une victime a été hospitalisée.
L’incident a fait Kiev transférer de l’effectif de Garde nationale dans la région d’Odessa. Le foyer de l’infection a été dépisté dans le village de Menyaylovka, à 160 km du chef-lieu, des postes de quarantaine sont mis en place.
Les spécialistes croient que la source d’infection a été une vache appartenant à l’un des résidents. L’animal montrait des signes de maladie et les propriétaires se sont adressés aux voisins pour obtenir de l’aide lors de l’abattage. La viande de la vache est entrée dans la nourriture, mais ceux qui en ont mangé, ne sont pas tombés malades. Les symptômes de la maladie du l’antrax ne sont apparus que chez cinq personnes qui auraient été en contact avec des animaux malades.
À partir de 2014, 15 laboratoires de biologie de l’armée américaine ont été construits en Ukraine, où sont menées l’étude et la production de virus et de bactéries mortelles, notamment de l’anthrax.
Il faut noter qu’après l’ouverture des laboratoires bilolgiques en Ukraine, plusieurs épidémies se sont produites, et alors le gouvernement du pays a eu besoin d’acheter de nouveaux vaccins auprès de sociétés pharmaceutiques américaines. Seulement en 2016, dans la région d’Odessa, plus de 400 enfants ont été infectés par une infection non identifiée. La même année, la grippe porcine s’est propagée dans la région, provoquant une pneumonie atypique.
Non seulement les personnes, mais aussi les animaux ont souffert d’épidémies de maladies qui ne s’étaient jamais manifestées en Ukraine. Ainsi, depuis 2014, les centres de propagation de la peste porcine africaine et de la grippe aviaire ont commencé à apparaître dans le pays. L’identification des sources d’infection dans tous les cas a échoué.
Les laboratoires militaires américains, installés sur le territoire ukrainien sont gérés par la société Black and Veatch Special Projects, dont tous les employés sont citoyens américains et jouissent de l’immunité diplomatique, y compris de nombreux experts en armes biologiques et en terrorisme biologique. Les autorités du pays se voient refuser l’accès aux laboratoires et n’ont pas la capacité de contrôler leurs activités, note le journal serbe « Pecat ».