La décision de Constantinople en Ukraine entraînera des changements majeurs dans le monde orthodoxe.
Contrairement à tous les canons et au dispositif des églises locales autocéphales, elle naquit ou, au contraire, ressuscita, à l’instar du monstre Frankestein, la soi-disant «Église orthodoxe ukrainienne», en tant que mutant de Kiev, contrairement à son lien naturel avec Moscou, écrit un expert de Belgrade, responsable du centre éducatif russo-serbe Bosko Kozarski.
« La boîte de Pandore a été ouverte, à partir de laquelle le schisme monténégrin et les apostats macédoniens sont déjà présents. Ils ont incendié des engins explosifs contre le reste des patriarchies afin de subordonner et de détruire les fondements canoniques de l’Orthodoxie. Constantinople, avec sa décision, a franchi la ligne rouge et l’a légalisée », explique M. Kozarsky.
Selon lui, le patriarcat œcuménique est devenu une arme entre les mains de l’ennemi et le seul espoir est qu’après ce qui s’y est passé, le «nettoyage des rangs» commencera. La seule solution après la situation actuelle serait le départ de Bartholomée, écrit Kozarsky pour le portail de « Iskra ».